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USA : La dangereuse dérive de Joe Biden vers une guerre contre la Russie. H. GOEL: Mathieu 24 V6: « Vous entendrez parler de guerres et bruits de guerre; prenez garde de ne pas vous troubler, car IL FAUT QUE TOUTES CES CHOSES ARRIVENT; mais ce ne sera pas encore la fin. V7: Car une nation s’élèvera contre une autre nation et un royaume contre un autre royaume; et IL Y AURA DES FAMINES, DES PESTES et des tremblements de terre en divers lieux . V8: Mais tout cela ne sera qu’un commencement de douleurs….. » Lisez la suite dans vos bibles.

PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 11 MAI 2022

Chaque jour qui passe semble nous rapprocher d’une implication des États-Unis dans le conflit ukrainien. Les fuites de responsables américains anonymes selon lesquels les États-Unis ont donné aux Ukrainiens les informations leur permettant de cibler et de tuer des généraux russes ont eu pour effet de confirmer que les Américains ne sont plus indirectement impliqués mais qu’ils se dirigent vers une guerre directe contre la Russie. Les Démocrates pensent probablement qu’ils ont besoin de cette «distraction» visant à faire oublier les problèmes internes qu’ils ont causés tels que la crise frontalière, l’inflation et l’augmentation de la criminalité, en vue des Midterms.

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Monica Showalter, paru sur le site d’American Thinker, le 10 mars.

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En route vers la guerre contre la Russie : La dérive de Biden devient dangereuse

Joe Biden, l’homme qui « s‘est trompé concernant presque toutes les grandes questions de politique étrangère et de sécurité nationale au cours des quatre dernières décennies », comme l’a écrit l’ex-Secrétaire à la Défense Bob Gates, a mis les États-Unis sur le chemin de la guerre contre la Russie. Pas parce qu’il le veut. Mais parce qu’il ne sait pas ce qu’il fait.

C’est le consensus d’experts en politique étrangère aussi divers que Thomas Friedman, le compagnon de golf du président Obama, et Mark Wauck, l’ex-fonctionnaire décoré du FBI avant l’époque de la mentalité « woke ».

Thomas Friedman a écrit dans le New York Times du 6 mai :

« Si vous ne faisiez que suivre les reportages sur l’Ukraine, vous pourriez penser que cette guerre n’est qu’une longue et pénible série de slogans quelque peu ennuyeux. Vous auriez tort.Les choses deviennent plus dangereuses de jour en jour. Pour commencer, plus la guerre se prolonge, plus les occasions de commettre des erreurs catastrophiques sont nombreuses – et la matière première pour cela s’accumule rapidement et furieusement. Prenez les deux fuites très médiatisées de responsables américains la semaine dernière concernant l’implication des États-Unis dans la guerre Russie-Ukraine … »

M. Friedman cite ensuite les fuites de supposés responsables américains déclarant que les États-Unis avaient donné des renseignements à l’Ukraine pour lui permettre de cibler et de tuer des généraux russes, ainsi que des informations de ciblage pour l’aider à couler le Moskva, le navire amiral russe de la mer Noire.

« En tant que journaliste, j’aime les bonnes histoires de fuites, et les journalistes qui ont révélé ces histoires ont bien fouillé leur sujet. En même temps, d’après tout ce que j’ai pu glaner auprès de hauts fonctionnaires américains, qui m’ont parlé sous couvert d’anonymat, les fuites ne faisaient pas partie d’une stratégie réfléchie, et le président Biden en était furieux. On m’a dit qu’il avait appelé le Directeur du renseignement national, le Directeur de la CIA et le Secrétaire à la Défense pour leur faire comprendre dans un langage fort et coloré que ce genre de fuite est imprudent et doit cesser immédiatement – avant que nous ne nous retrouvions pris dans une guerre involontaire contre la Russie. Ce qui est stupéfiant dans ces fuites, c’est qu’elles suggèrent que nous ne sommes plus indirectement impliqués mais que nous nous dirigeons vers une guerre directe contre la Russie- et personne n’a préparé le peuple américain ou le Congrès à cela. »

Mark Wauck, lui aussi, commentant les fuites, avait ceci à dire :

« Ces affirmations fanfaronnes ont semblé à beaucoup, y compris à moi-même, être remarquablement téméraires et provocatrices. Cela a conduit certains à spéculer que l’Administration Biden cherche à provoquer une guerre ouverte contre la Russie pour des raisons de politique intérieure – élections de mi-mandat, imposition d’un contrôle autoritaire sur la dissidence, etc. Aujourd’hui, cependant, des responsables du Pentagone identifiables – des gens avec des noms, comme « John Kirby » – reviennent sur les affirmations des « hauts responsables américains » et des « responsables américains » anonymes. Cela conduit à une spéculation qui n’est guère moins troublante que l’idée que des éléments au sein du gouvernement américain – soigneusement dissimulés derrière des déclarations d’origine délibérément vagues – tentent, en fait, de conduire les États-Unis au bord de la guerre, mais que d’autres éléments, bien en vue au Pentagone, résistent à la précipitation vers la guerre. Nous avons souligné à plusieurs reprises cette dynamique tout au long de l' »opération spéciale » de la Russie en Ukraine.
Le fait que le gouvernement américain soit si divisé sur la question fondamentale de la guerre ou de la paix avec une puissance nucléaire est inquiétant en soi. Le fait qu’une faction du gouvernement agit dans le dos du Pentagone afin d’entraîner les États-Unis vers une guerre, ajoute à l’inquiétude. Le fait que les sources soient identifiées de manière aussi vague est une autre source d’inquiétude, car cela suggère un manque d’expertise militaire. Le fait que ce débat semi-public se déroule sans aucune contribution significative de la seule institution constitutionnelle de la république américaine qui a l’autorité de déclarer une guerre – le pouvoir législatif – ni de débat public significatif devrait nous inquiéter au plus haut point. 
»

Les deux hommes ont souligné que Joe Biden ne sait pas vraiment ce qu’il fait.

Selon Thomas Friedman : « Se vanter de tuer ses généraux et de couler ses navires, ou tomber amoureux de l’Ukraine d’une manière qui nous y entraînera à jamais, est le comble de la folie. »

Selon Mark Wauck : « Cela conduit à une spéculation qui n’est guère moins troublante à savoir que des personnes au sein du gouvernement américain – soigneusement dissimulées derrière des déclarations d’origine délibérément vagues – tentent, en fait, de conduire les États-Unis au bord de la guerre, mais que d’autres personnes, bien en vue au Pentagone, résistent à cette précipitation. »

Maintenant, nous voyons l’inéluctable se produire – Joe Biden signant un nouveau projet de loi pour permettre les ventes d’armes à l’Ukraine à des conditions plus faciles et rationalisées.

Selon le Washington Post :

« Le Lend-Lease Act de 2022 (Loi sur le prêt-bail) pour la défense de l’Ukraine et de la démocratie fait revivre ce programme pivot, en renonçant à des exigences chronophages sur l’autorité du président pour envoyer des ressources défensives critiques à l’Ukraine. Il est important de noter qu’il s’agit de temps. Le temps est très important lorsque des vies sont en jeu. »

Cela nous rapproche encore un peu plus d’une guerre directe contre la Russie.

Il se peut qu’il y ait des raisons de faire du «wag the dog» ( NdT: référence au film Wag the Dog de 1997 dans lequel le gouvernement américain s’engage dans une action militaire superflue afin de détourner l’attention d’un scandale national ).

Mais il est tout aussi probable que les Bidenites se laissent bousculer par diverses personnes : des entrepreneurs de la défense avides de gros contrats, aux détracteurs de Donald Trump du genre Adam Schiff désireux de « prouver » que le Président Trump était le méchant dans le dossier ukrainien, en passant par le lobby des émigrés ukraino-américains, compatissant à juste titre, et les Européens paresseux et radins, trop heureux que les États-Unis se battent à leur place et sécurisent leur approvisionnement énergétique.

Joe se fait bousculer de toutes parts et il ne sait pas ce qu’il fait.

Mais chaque jour semble montrer que l’implication directe des États-Unis dans le conflit ukrainien se rapproche de plus en plus, alors qu’il n’y a aucun débat public à ce sujet.

Nous pourrions nous retrouver aspirés dans une guerre contre la Russie, l’Ukraine servant de prétexte, et finir par payer la facture au complet.

Pire encore, nous pourrions bien nous exposer à des cyberattaques russes et à des coupures de pétrole russe, non seulement concernant l’approvisionnement venant de la Russie mais aussi de celui de ses mandataires et alliés.

Le Venezuela, par exemple, a clairement fait savoir aux Bidenites que sa loyauté envers la Russie protectrice est primordiale.

Ne vous attendez donc pas à ce que le Venezuela fournisse aux États-Unis le pétrole qu’ils ne produiront pas eux-mêmes. Vladimir Poutine a mis en garde les États-Unis contre les « conséquences » de l’aide militaire accordée à l’Ukraine.

Joe Biden a signé cette mesure, qui vient s’ajouter à tous les programmes d’aide qu’il a approuvés, ainsi qu’aux fuites concernant le meurtre de généraux et le naufrage de navires de guerre, et on ne peut que se demander ce qui va suivre.

Est-ce que ce sera la fin, ou est-ce qu’il y aura de plus en plus de choses à venir ?

Bien sûr, les Démocrates risquent de se faire démolir en novembre. Il ne serait donc pas surprenant que Joe Biden penche pour une guerre afin de faire en sorte que les électeurs se rallient au drapeau et au président.

Mais d’un autre côté, il ne s’agit pas de s’en prendre à une petite dictature du Tiers-Monde, mais à la Russie, un pays doté de l’arme nucléaire.

Il se pourrait bien que Joe ait les yeux plus gros que le ventre, et qu’il devienne l’équivalent du Kaiser Wilhelm II en termes de stupidité – et les conséquences seront pour nous.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Americanthinker

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Join the discussion 3 Comments

  • Milena dit :

    Cela me rappelle ce que tu avais reçu Haïm : « il vient une persécution démente », je crois que ça approche et confirme tout à fait ce qui est écrit dans Matthieu 24. J’ai l’impression que bien des personnes deviennent de plus en plus hostiles à l’évangile.

  • Alexandre dit :

    En suivant l’avancée de ce conflit et en étant attentif aux diverses réactions des USA, il semble bien que l’on se rapproche
    des prophéties dans Matthieu 24… Ou bien nous y sommes tout simplement. En lisant cet article, on s’accorde le droit de penser
    « est-ce que Joe Biden, sait ce qu’il fait ?… » et même de conclure, Joe Biden n’est-il pas aussi dangereux que l’est Poutine … ?
    Prions Le Seigneur en le louant avec entre autre : « OSSEH SHALOM »
    Merci à « Lève-toi » pour ce partage.

    • Haïm Goël dit :

      Mathieu 24, nous y sommes, nous y sommes.
      Inutile de se questionner sur Biden et Poutine, ce sont les esprits mauvais dans les lieux célestes en leurs activités de DOMINATIONS qu’il faut envisager selon Ephésiens 6 v11 à 20
      Personnellement j’encourage à ce que l’on considère désormais ce qui est à lire dans mon « Lisez la suite dans vos bibles ». C’est là la prochaine étape, non immédiate, mais proche.

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