Depuis qu’ Hillary Clinton a conseillé à Joe Biden de ne pas concéder l’élection quoiqu’il arrive, on voit que les Démocrates sont prêts à tout. De la fraude électorale via les bulletins par correspondance à l’intimidation éventuelle des Grands Électeurs du Collège électoral, les Démocrates vont tout faire pour empêcher la réélection de Donald Trump et asseoir Joe Biden dans le Bureau Ovale.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de William L. Gensert, paru sur le site American Thinker, le 5 septembre.
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La stratégie des Démocrates pour voler la présidence
C’est une prise de conscience brutale et surprenante : les Démocrates ne sont pas aussi bêtes qu’ils en ont l’air.
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C’est d’autant plus surprenant qu’ils ont essayé d’utiliser le dossier Steele, un dossier rempli de rumeurs ridicules et facilement démystifiées et de récits imaginatifs, pour d’abord voler une élection et ensuite, destituer un président.
Ils essaient maintenant de convaincre les Américains que M. Trump, qui a dénoncé les émeutes depuis le début et a offert un soutien fédéral aux villes et aux États dirigés par des Démocrates pour y mettre fin, est en quelque sorte responsable de toutes les destructions et de la violence.
Il est évident qu’ils pensent que ce sont les Américains qui sont stupides.
Cela fait peur quand on se rend compte que les Démocrates ont un plan à plusieurs facettes pour voler l’élection présidentielle, dans moins de deux mois.
Ils ont tout essayé au cours du premier mandat de Trump, du dossier susmentionné à la mise en accusation pour le fameux appel téléphonique (au président de l’Ukraine).
Rien de tout cela n’a fonctionné.
Puis, la maladie des méprisables Communistes chinois s’est abattue sur l’Amérique. Ce fut une tragédie pour l’Amérique, mais un coup de chance pour les Démocrates.
Ils ont utilisé la pandémie pour effrayer la population au point de provoquer des arrêts de travail semi-permanents en série, destinés à mettre les Américains dans la misère par la destruction de l’économie, afin de causer la défaite électorale de Trump.
Ensuite, les Démocrates ont tenté d’imputer leur intention de maintenir un confinement perpétuel à la mauvaise gestion du coronavirus par Trump.
Les émeutes ont été une autre occasion fortuite pour les Démocrates.
En s’appropriant l’agenda des minorités (les Noirs, les Hispaniques, Antifa et BLM), ils espéraient que le soutien aux émeutes demeurerait suffisamment élevé pour tenir jusqu’à la fin des élections, leur permettant ainsi d’utiliser les émeutiers comme des stormtroopers prenant d’assaut les bureaux de vote en novembre afin d’empêcher les électeurs de Trump d’exercer leur droit de vote.
Bien sûr, ils ont confondu la sympathie du public pour une cause avec un soutien indéfectible à la violence et à la destruction. C’est seulement récemment qu’ils en sont venus au constat évident pour ceux qui ne sont pas des imbéciles du fait que les Américains n’aiment pas que leur vie, leur famille, leurs biens et leurs moyens de subsistance soient menacés par des anarchistes violents qui ne seront jamais satisfaits de ce qu’on leur cède.
Et les Américains ne baissent pas les bras devant des étrangers qui cassent et brûlent leurs entreprises et sont prêts à poursuivre en justice quiconque cause des lésions corporelles à leurs proches.
Tandis que les sondages sont maintenant défavorables aux émeutiers, il peut sembler idiot que les Démocrates essaient de blâmer Trump pour les ravages épiques qui ont dévasté nos villes, alors qu’ils les ont fomentés et excusés pendant des mois, voire des années.
Mais tout cela fait partie de leur stratégie.
En plus de l’intimidation des Antifas dans les bureaux de vote, les organisateurs de la campagne de Biden ont engagé des centaines d’avocats pour soi-disant empêcher Trump de voler les élections, mais qui, en réalité, sont destinés à brouiller les pistes juridiques et à entamer des poursuites de manière à empêcher ce qui ressemble de plus en plus à une victoire écrasante de Donald Trump.
Du moins jusqu’à ce qu’ils trouvent quelque part ou fabriquent suffisamment de bulletins de vote pour faire basculer l’élection en leur faveur.
Les Républicains se sont toujours montrés remarquablement mous en réaction à ces votes «perdus» et «retrouvés» jouant toujours en faveur des Démocrates.
Comme a averti Angelo M. Codevilla (un politologue) :
« Considérez l’élection de 2020. En juillet, le Comité National Démocrate a engagé quelque 600 avocats pour surveiller les résultats et engager des litiges, peut-être dans tous les États. Aucune issue de procès n’est nécessaire pour déclencher une crise systémique. L’existence même de ces litiges suffit pour qu’un ou plusieurs gouverneurs d’États démocrates refusent de certifier les Grands Électeurs du Collège électoral, afin de les empêcher d’enregistrer une majorité de votes pour le vainqueur. Dans le cas où aucun gagnant ne pourrait être confirmé avant le jour de l’investiture en janvier, le 20e amendement prévoit que c’est le Congrès qui doit élire le prochain président. Qui doute que, si Donald Trump était le vainqueur apparent et que le Congrès était aux mains des Démocrates, il serait probable que cela n’arrive pas ? »
Le coronavirus joue aussi un rôle essentiel dans leur stratégie, car les Démocrates vont prétendre que puisqu’ils sont le parti qui croit en la science et que la grippe chinoise est plus dangereuse que jamais, la plupart des partisans de Biden choisiront de voter par correspondance et avec les totaux de votes connus tôt le jour de l’élection, les Démocrates sauront exactement combien de votes ils devront «recueillir» dans les jours qui suivront l’élection afin de gagner.
En outre, surveillez l’avènement de la légendaire « Surprise d’Octobre *».
Par exemple, le Procureur général de New York pourrait tenter d’inculper le Président Trump pour un crime imaginaire avant le jour du scrutin. Il est de notoriété publique aux États-Unis qu’un procureur peut inculper un sandwich au jambon, et il n’y a pas plus gros jambon que Donald Trump – il suffit de faire le sandwich.
S’ils ne parviennent pas à recueillir suffisamment de votes pour voler l’élection, les Démocrates, comme ils l’ont fait en 2016, vont mettre en jeu leurs amis dans les médias, les célébrités d’Hollywood et des Démocrates éminents pour convaincre les membres du Collège électoral de ne pas attribuer leurs votes à Trump.
Cette fois, ils feront pression par le biais du doxing (NdT: divulgation sur Internet des informations concernant l’identité et la vie privée d’un individu) , de la violence, de l’intimidation économique, des déluges de tweets et de l’ostracisme des médias sociaux pour pousser les Grands Électeurs à attribuer leurs votes à Biden.
Bien entendu, les Dems faciliteront le vote des personnes en situation irrégulière ainsi que celui des personnes qui votent illégalement plus d’une fois.
Et puis, il y a les plus fervents partisans des démocrates, les morts et les presque morts, dont ils rempliront et livreront les bulletins de vote à leur place. Parlant de récolte de votes…
Les Américains doivent être conscients du harcèlement qu’ils recevront de la part des militants paramilitaires du Parti Démocrate lors des élections et y être préparés.
Trump doit se donner une stratégie afin de se battre pour protéger sa victoire et organiser une résistance aux Démocrates qui tenteront d’installer Joe Biden dans le Bureau Ovale.
* La «Surprise d’Octobre est le surnom donné à un événement créé ou programmé délibérément dans le but d’influencer le résultat d’une élection présidentielle.
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Source : Americanthinker