Hier, Charles, un aimable lecteur de Dreuz, m’écrivait dans un commentaire :
« Ne perdons cependant pas espoir. En tout cas sur cet aspect de notre humanité faite de rêve, de sensations douces, de sentiments sublimes, et d’insouciance. »
Vous avez raison, Charles ! Ne perdons pas espoir !
Une bouffée d’air frais, un moment d’émerveillement, de la douceur et de l’émotion nous arrivent de Hongrie … et nous voilà emportés, l’espace d’un instant, vers un monde illuminé par un sentiment sublime : l’amour de celui qui souffre.
Cela s’est passé à Budapest en Hongrie à l’initiative des Franciscains le troisième dimanche de l’Avent, 13 décembre, sur un marché de Noël. Des centaines d’instrumentistes et de chanteurs se sont réunis pour attirer, avant Noël, l’attention sur les chrétiens persécutés.
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A la fin, la foule, musiciens, chanteurs et badauds émerveillés, se sont réunis devant la cathédrale qui se trouve sur la place.
Le résultat est magnifique et… les sous-titres sont en français ! Superbe initiative.
Il existe encore quelques pays d’Europe où les chrétiens sont libres de répandre la paix de Jésus-Christ et la Bonne parole dans la bonne humeur, notamment à l’Est.
Ma question : une telle manifestation pro-chrétienne, tout en douceur, aurait-elle été autorisée dans nos pays ?
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Merci au site Les Observateurs.Ch
