Bien aimés frères et sœurs d’Israël,
Il ne faut pas se voiler la face, ce que vous vivez à Jérusalem, inspire déjà quelques petits « sauvageons » en manque d’imagination.
Déjà nous avons chez nous, ici ou là, quelques coups de couteaux dont la presse ne fait pas grand étalage. Dame, il ne faut pas affoler le Francistan !
Le malheur est que la colère, le ras-le-bol et la haine montent dans le pays et monsieur Tout-Le-Monde s’arme.
Il y a des quartiers dans des villes du sud où les artisans sont obligés de refuser des chantiers ; ils ne peuvent plus y pénétrer sans se faire racketter par de jeunes enfants (10/12ans) qui les menacent de rayer leurs camions et de les crever, s’ils ne déboursent pas quelques euros de pourboire et ne leur abandonnent pas leurs outils.
Si ces adorables chérubins se prennent un aller-retour par une main laborieuse exaspérée, ils partent en pleurnichant et reviennent plus tard avec les « grands frères », toujours très protecteurs….
C’est très amuzzant le racket pour cette jeunesse transplantée à qui on laisse croire qu’elle peut tout se permettre sans rien risquer !
Mes chers frères et sœurs d’Israël, vous qui (hélas) êtes riches d’expérience, nous vous demanderons bientôt des conseils pour notre sauvegarde.
Sachez que je n’ai pas imaginé ce témoignage, il nous a été raconté la semaine passée par un témoin venu travailler chez nous…
Bien aimés frères et sœurs d’Israël,
Il ne faut pas se voiler la face, ce que vous vivez à Jérusalem, inspire déjà quelques petits « sauvageons » en manque d’imagination.
Déjà nous avons chez nous, ici ou là, quelques coups de couteaux dont la presse ne fait pas grand étalage. Dame, il ne faut pas affoler le Francistan !
Le malheur est que la colère, le ras-le-bol et la haine montent dans le pays et monsieur Tout-Le-Monde s’arme.
Il y a des quartiers dans des villes du sud où les artisans sont obligés de refuser des chantiers ; ils ne peuvent plus y pénétrer sans se faire racketter par de jeunes enfants (10/12ans) qui les menacent de rayer leurs camions et de les crever, s’ils ne déboursent pas quelques euros de pourboire et ne leur abandonnent pas leurs outils.
Si ces adorables chérubins se prennent un aller-retour par une main laborieuse exaspérée, ils partent en pleurnichant et reviennent plus tard avec les « grands frères », toujours très protecteurs….
C’est très amuzzant le racket pour cette jeunesse transplantée à qui on laisse croire qu’elle peut tout se permettre sans rien risquer !
Mes chers frères et sœurs d’Israël, vous qui (hélas) êtes riches d’expérience, nous vous demanderons bientôt des conseils pour notre sauvegarde.
Sachez que je n’ai pas imaginé ce témoignage, il nous a été raconté la semaine passée par un témoin venu travailler chez nous…
Que D.ieu nous soit en aide !