Voici encore un rayons de soleil tirés d’un petit florilège non exhaustif !
Sauf de très, très, trop rares ministères, le silence général des hommes de D.ieu en ces jours d’Apocalypse est aussi puissant que ne le fut inversement le cri des Luther, Calvin, Hus et tant d’autres, jadis, Jérémie, Ézéchiel, Esaïe, Osée, Jean-Baptiste, etc. Quant aux prophètes fabricants de scoubidous et autres gâteries pour foules « égocentrisées », on les attend ici sur le terrain… Mais, « ma sœur, ma sœur, ne vois-tu rien venir ? Je ne vois que la route qui poudroie,… »
Par contre, les mots des « petits », des modestes, de ceux qui ont appris ce que souffrir signifie, modestement, affluent.
Gloire à l’Éternel qui par son Esprit nous conduit au seul paramètre qui nous garantira de traverser les temps si spéciaux qui sont devant nous : L’humilité.
Place aux humbles.
J’en profite pour remercier tous ces rayons de soleil des humbles, des petits. Trop saisi par l’omniprésence du défi ici et la fatigue, je réserve à plus tard le fait de vous remercier tous personnellement. D’habitude je réponds à tout et à tous, mais là, vu les circonstances, merci de comprendre…
Haïm, Elishéva et tous ici à Jérusalem.
Voici encore un rayons de soleil tirés d’un petit florilège non exhaustif !