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VOUS AVEZ DIT DELIVRANCE ? / Extrait N°25 : Premier témoignage : Exerçant le ministère en Centre-Afrique au terme d’une grande tournée de visites d’assemblées en brousse, je fus sollicité à Bangui en vue de recevoir à domicile des personnes aux besoins divers. Je venais de pratiquer en divers lieux un ministère d’évangéliste et de prophète et là, « au repos », j’étais désormais sollicité comme pasteur.

Premier témoignage :

 

Exerçant le ministère en Centre-Afrique au terme d’une grande tournée de visites d’assemblées en brousse, je fus sollicité à Bangui en vue de recevoir à domicile des personnes aux besoins divers. Je venais de pratiquer en divers lieux un ministère d’évangéliste et de prophète et là, « au repos », j’étais désormais sollicité comme pasteur.

 

Un homme d’une trentaine d’année vint et m’exposa par mille détours ses difficultés professionnelles et de couple. Il était garagiste. J’eus peine à le stopper, percevant que ses difficultés avaient une tout autre source que ce qu’il croyait ou voulait croire. Une des qualités majeures du pasteur biblique étant la patience, j’écoutai longuement son discours et lorsqu’il fut fatigué de parler, je l’attirai sur un autre terrain, celui de ses compromis avec la sorcellerie africaine, bien qu’il se déclarât chrétien et qu’il ait fait une démarche de longue date vers le Seigneur. Je l’instruisis et l’amenai à s’humilier devant D.ieu de façon très spécifique. Il connut une délivrance totale.

 

Mais en me quittant, ayant appris au cours de notre conversation que je prêchais le soir même dans une assemblée de Bangui, il me dit : « frère, soyez prévenu que la grande majorité des croyants de cette assemblée sont dans la même situation que moi ». J’étais je l’avoue estomaqué… et j’en étais à mes pre-miers contacts avec l’Afrique.

 

Ce soir-là, avant de prêcher, je questionnai franchement l’assemblée et demandai qui continuait à avoir recours aux sor-ciers tout en venant au culte et se déclarant chrétien. Plus de deux cent mains se levèrent, la quasi totalité de l’assemblée, excepté l’un ou l’autre diacre. J’enseignai et exhortai vivement la foule en quelques mots et les conduisis dans une repentance complète à haute voix. Lorsque je déliai ces gens au nom de Yeshoua un phénomène saisissant eut lieu. On entendit dans l’air le départ de ce qui ressemblait à des centaines de fusées qui semblaient quitter les repentants. C’était en fait des centaines de démons quittant instantanément toute une foule de repentants. Ce fut mon seul « exorcisme » public en faveur de nombreuses per-sonnes mais…

 

Leçon à retirer : leur délivrance fut instantanée et fruit d’une repentance. C’est donc un cas de figure n°2.

 

Deuxième témoignage :

 

Nous fûmes en famille invités par le Seigneur à utiliser nos va-cances d’été (je travaillais encore dans le monde à l’époque et était tout jeune dans le ministère) pour un séjour en Provence. Humainement, je n’étais pas du tout attiré par cette perspective, mais j’obéis. Le Seigneur organisateur parfait nous ouvrit la porte pour un séjour en village chrétien. Quelques jours de dé-tente et de travail bénévole et vint la visite d’un pasteur anglais qui nous annonça qu’en priant avec son assemblée le Saint-Esprit m’avait désigné pour remplacer au pied levé l’évangéliste ma-lade qui était attendu pour une campagne d’évangélisation.

 

La campagne avait été soigneusement préparée par une distribu-tion massive d’invitations et beaucoup de prières, mais les résul-tats furent si maigres que cela sembla désespérant. La seule per-sonne qui vint aux réunions fut un ivrogne que je ramenai, ivre, d’un parc public et qui dessaoulé assista à la réunion pour y ac-cepter le Seigneur. En dehors de lui, rien ! Le pasteur déçu me questionna sur mon point de vue quant à cet échec et je lui transmis immédiatement quelque chose qui m’était apparu clai-rement au fil des réunions. La plus grande partie des croyants de cette assemblée semblait couverte d’un voile, de quelque chose que l’Esprit Saint rejetait. Il y avait beaucoup de malades et de choses non mises en ordre.

 

Bref il y avait un interdit et D.ieu voulait d’abord opérer un net-toyage complet parmi son peuple avant d’y amener de nouvelles âmes. La chose fut communiquée à l’assemblée et tous reconnu-rent cette réalité et la nécessité de passer par un temps pastoral de purification. Ainsi, revenant six ou sept fois depuis la Belgi-que dans le cours de l’année qui suivit, j’eus à recevoir en entre-tien chaque membre de l’assemblée pour des entretiens basés sur la confession des fautes occultes et sexuelles du passé pour l’essentiel (avec d’autres choses selon ce que D.ieu montra). Après confession, je déliai un nombre considérable de personnes au cas par cas. Les fruits ne tardèrent pas. L’assemblée de plus en plus purifiée, les malades vinrent à la guérison et le nombre de personnes vint à doubler.

 

Le Seigneur attesta cette œuvre de réveil par de puissants mira-cles puisque le fils de l’ancien maire qui se mourait d’un cancer du sang fut sur révélation reçue en plein culte déclaré par votre serviteur prophétiquement guéri. L’enfant qui se trouvait bien loin du lieu, en hôpital, fut guéri le jour même. Ce réveil fut clairement le fruit de nombreuses repentances enregistrées en entretiens privés. Nous sommes donc là en plein cas de figure N°2.

 

Troisième témoignage :

 

Makak au Cameroun. Makak est la deuxième ou troisième ville du Cameroun en terme de population. Makak est située en pleine forêt et est réputée dans toute l’Afrique de l’Ouest comme un haut lieu de sorcellerie. Il s’y déroule selon ce qui me fut rappor-té une espèce de rencontre annuelle de sorciers qui y font le point de leurs recherches, etc.

 

J’étais invité comme orateur pour une campagne d’évangélisation. La chose piétinait et je reçus l’explication via une vision, en priant : la majeure partie des « chrétiens » conti-nuaient à avoir recours aux sorciers car vaincus par la peur et au fond ayant souvent et tout simplement ajouté Jésus au Panthéon de leurs dieux à côté d’autres dieux.

 

Je prêchai sur la nécessité d’un choix radical et conduisis trois soirées d’affilée les croyants dans la repentance tout en déliant ceux qui s’étaient repentis. Un dimanche je reçus que parmi la foule croissante de réunions en réunions il y avait une femme avec un bébé mourant dans ses bras. J’invitai cette inconnue à venir me trouver en fin de culte. C’est ce qu’elle fit. Immédiate-ment je perçus sur sa face et dans son regard la peur et les ténè-bres. Après l’avoir questionnée quant à savoir si elle allait encore voir des sorciers bien que chrétienne, elle me dit dans un souf-fle : « oui ».

 

Je l’invitai à cesser car, entre autres, son enfant se mourait (c’était visible car l’enfant déshydraté, desséché et ratatiné dans ses bras agonisait) et toute sa personne semblait en perdition physique et spirituelle. Je l’exhortai à ne plus craindre la puis-sance du diable et à croire que celle de Yeshoua lui était bien supérieure. Elle accepta de prononcer une prière de repentance et de renoncement aux œuvres des ténèbres. Je priai pour l’enfant, les yeux fermés, et en quelques secondes elle retrouva dans ses bras un enfant gros et brillant de santé. D.ieu avait accompli un puissant miracle sur le champ. Cette repentance amorcée parmi les croyants eut des effets très puissants. Lors d’une réunion en forêt, vers minuit, un sorcier fut vaincu par D.ieu et vint au salut après être venu tester ma puissance, la puissance du blanc,… la puissance de D.ieu en fait et non celle d’un homme.

 

Ce soir-là, bien après minuit, nous rentrâmes à Makak à pied à travers la forêt (treize kilomètres). Selon ce que j’ai pu juger nous avons subi à un carrefour une attaque de sorciers (représail-les ?). Tous mes collègues pasteurs africains adoptèrent une atti-tude incompréhensible pour moi et ne me fournirent aucune ex-plication sur le pourquoi de leur paralysie à ce carrefour, ni sur la disparition de certains vers la forêt (la peur ?).

 

Je décidai donc de prier mon D.ieu afin qu’il me protège et je rentrai presque seul à Makak, environné sans doute des regards pleins de malédiction (ou de crainte) de sorciers dissimulés dans la forêt. Les yeux des collègues du sorcier que j’avais amené au Seigneur quelques dizaines de minutes auparavant me suivaient sans aucun doute. Je n’évoquerai pas l’atmosphère terrible de conflit spirituel entre lumière et ténèbres qui remplissait l’air cette nuit-là. J’eus encore à faire front à la visite d’un sorcier transformé en souris qui vint me narguer dans ma chambre.

 

Mais mieux, de retour à Makak, et il devait être deux ou trois heures du matin, je fus surpris de voir l’église éclairée et venir à moi un pasteur me suppliant de tenir une réunion car, me dit-il, après le dernier message prêché un parfum avait commencé à se dégager du lieu et avait été senti par la population autour du lieu en l’amenant à l’église. « Frère » me dit le pasteur, « il faut que tu viennes prêcher, ils t’attendent et te réclament ». J’entrai, sale, suant, fatigué, posai ma bible et l’ouvris sur un chapitre d’Esaïe avec les premiers mots d’un message improvisé et balbutiant de fatigue. Je n’eus pas à continuer, dans l’assemblée on se levait de partout en signe de repentance ou du désir d’accepter le Sei-gneur. Nous sommes avec cette histoire en pleine configura-tion N°2 à base de repentance. Une authentique œuvre pasto-rale mêlée au ministère d’évangéliste et de puissants dons de l’Esprit.

 

Quatrième témoignage :

 

Ce témoignage est tout à fait exceptionnel. Il se déroule dans une commune proche de la ville de Verviers en Belgique. Cette ville est très particulière et il y est connu que tout un quartier a dû y être rasé il y a des années, car les gens ne voulaient plus y vivre, tant chaque maison y était le siège de manifestations démonia-ques atroces. Ceci n’est pas légende mais réalité.

 

Nous menâmes à la foi en Jésus deux dames, mère et fille, vivant seules dans une grande maison du 16ème ou 17ème siècle. Elles nous invitèrent au deuxième étage de cette grande bâtisse à boire le café, un bel après-midi. Ce que nous découvrîmes nous stupé-fia puisque chaque pièce de chaque étage, hormis la cuisine, était inhabitable car elle était remplie de centaines et sans doute sans exagérer de milliers d’objets tous plus étranges les uns que les autres. Sujets baroques gagnés dans les foires, statues de saints catholiques, etc., etc. Chaque objet semblait être la demeure d’une puissance démoniaque, car il était une idole dans le cœur de ces dames.

 

Une atmosphère d’étrangeté et de menace régnait en ce lieu de façon très cruciale. Nous eûmes accès à la « chambre haute » du père décédé, une chambre située au plus haut de l’habitation. Ce que nous discernâmes dans ce lieu en priant était d’une telle in-tensité d’impureté sexuelle et d’occultisme (idolâtrie et œuvres charnelles surtout) que sur une direction de l’Esprit Saint nous déclarâmes à ces dames que nous ne pouvions prier plus avant pour la paix de cette maison mais qu’il fallait la vider de fond en comble via la benne d’un camion de tout son contenu. Qu’on veuille le croire ou non, mais nous perçûmes clairement que chaque objet de cette maison était dans les mains de Satan et que seule une destruction générale du tout était envisageable. La mère décéda quelques temps après et ce fut l’occasion de trans-former un auditoire catholiquerural plus que farouche (c’est la première fois de ma vie que je vis des fourches dans les yeux d’un auditoire) en un public peu à peu attentif et rendu sensible à travers le message que j’apportai.

 

Cela se passa dans l’église attenante à la fameuse maison et où se pratiquèrent les funérailles. La fille de la défunte, compte tenu de ce que sa mère avait accepté le Seigneur avec moi, avait insis-té pour que je prêche et préside les funérailles. Le curé de la pa-roisse étant absent, le bedeau embarrassé avait finalement accep-té. C’est cet homme (très impur pourtant) qui me dit au terme da la cérémonie dans son église catholique : « Nous n’avions jamais entendu parler de D.ieu comme cela. Il nous en faudrait plus,… dommage que vous ne puissiez revenir. »

 

Ce cas de figure est surtout un exemple de ce qu’il faut savoir faire : s’arrêter lorsque D.ieu le demande (l’épisode de la maison). Il y a des situations qui nous échappent et dont seul D.ieu connaît les clés.

 

Nous avons compris que la méthode selon le cas de figure N°2 que je viens de vous exposer à travers différents cas de figure et différentes situations est une méthode de délivrance et de purifi-cation. Certes elle demande temps, disponibilité et humilité car les expériences n’y sont ni provoquées, ni recherchées mais vé-cues du fait que l’on est sagement disponible. Un authentique ministère pastoral, débarrassé de tous les jougs que la tradition et les fonctionnements administratifs l’obligent à porter dans les systèmes pyramidaux ou dénominationnels, n’a-t-il pas le temps et le devoir prioritaire de s’occuper de ses brebis ? Songez à toute cette armée de pasteurs que nous avons autour de nous, et qui, débarrassés de tous les jougs qui ne leur reviennent pas, seraient à la disposition des brebis. Si cela pouvait survenir en-fin, nous aurions très vite, en peu de temps, une vaillante armée d’enfants de D.ieu, bien droits sur leurs jambes, et non cette trop longue cohorte d’éclopés ou de religieux égarés comme nous en avons trop souvent.

 

La méthode décrite plus haut est bien une méthode de délivrance pour la raison suivante : le monde spirituel est un monde régi par des lois très rigoureuses.

 

J’ai découvert en de multiples occasions – des centaines et des centaines en vingt-quatre ans de ministère – que là où il y a péché non confessé, il y a le droit pour une ou plusieurs puissances démoniaques de demeurer et d’influencer. Cela est vrai pour un homme comme pour un lieu ou un simple objet.

 

Par le don de discernement des esprits et la parole de connais-sance, combien de fois n’ai-je pas, en entrant dans une maison, discerné dans le corridor d’entrée la présence d’esprits de dis-pute, voire de violence. C’est en ce lieu de la maison que souvent les disputes, entre conjoints par exemple, ou parents et enfants, atteignent leur paroxysme lorsque l’un ou l’autre quitte la maison en claquant la porte et parfois pire.

 

Je pourrais vous donner une foule d’exemples à ce sujet, dont certains tellement impressionnants qu’ils vous feraient dresser les cheveux sur la tête. Là n’est pas mon but.

 

Je me souviens, ultime exemple, de cette maison de gitans où l’on m’avait invité à venir prier, dans le Midi de la France. Plus personne n’osait venir habiter dans cette maison. J’y pénétrai le premier, suivi à la queue leu leu par une kyrielle d’amis gitans tremblants et cherchant une vaine protection derrière ma haute taille. Nous pénétrâmes par un corridor où il faisait étrangement sombre bien qu’en plein jour, et nous entrâmes dans une cuisine ouverte à notre gauche, encore plus sombre, bien qu’une fenêtre aux carreaux propres donnât largement sur l’extérieur. Ces ténè-bres-là n’étaient pas naturelles du tout.

 

Peu à peu, scrutant ces ténèbres en priant, je perçus en plein mi-lieu de la pièce, je « vis » une espèce d’immense toupie d’environ un mètre vingt, un mètre trente de haut, un cône de ténèbres d’environ quatre-vingt centimètres de large à sa base. Ce cône était un cône de ténèbres absolues, très opaques et qui tournoyait à une vitesse vertigineuse sur lui-même. Il se déga-geait quelque chose d’extraordinairement démoniaque de cette présence, de cette manifestation.

 

Que signifiait cette chose ?

 

Le Seigneur me révéla alors simplement que le couple gitan qui habitait cette demeure auparavant s’était disputé avec une haine sans nom, une haine accompagnée certainement de violences et de malédictions terribles, ultimes. Par conséquent, un esprit de haine vraiment terrifiant s’était installé dans la pièce et avait fait de cette maison un lieu aride où il était impossible de demeurer (selon Matthieu 12 : 43).

 

Je priai en demandant pardon au Seigneur pour ce qui s’était passé là. Ce comportement est biblique mais je n’y ai recours que conduit par l’Esprit de D.ieu. Lorsque j’eus terminé ma prière, je déliai cet endroit au nom de Jésus de toute influence démoniaque, et mes amis gitans et moi eûmes la surprise de voir cette toupie, ce cône tournoyant de ténèbres, se mettre en mou-vement pour quitter la pièce en oscillant de gauche à droite, tout en continuant à tournoyer sur lui-même.

 

La « chose » passa devant nous, mes amis gitans étaient alignés dans le couloir, et passant devant eux elle sortit par la porte, emmenant avec elle un paquet de ténèbres. Ce que tous virent alors de leurs propres yeux stupéfia : la lumière du jour pénétra à flots dans la cuisine.

 

Leçon : la libération du lieu se fit après demande de pardon (donc cas de figure N°2)

 

Je pourrais vous donner d’autres exemples encore bien plus spectaculaires que celui-là, mais retenons simplement que ce qui est vrai pour un couloir ou une cuisine, l’est aussi pour une personne. Là où le péché a fait son œuvre, en l’absence de repen-tance, les puissances des ténèbres exerceront toujours leurs droits la manipulation, au contrôle des individus. Dès lors, confesser ses fautes et en être délié corps, âme et esprit revient à pratiquer une forme de délivrance.

 

Rappel : à d’autres moments de mon ministère, il m’arrive, sans passer par le processus décrit plus haut, de chasser des démons directement ( donc cas de figure N°1 comme présenté au début du chapitre 2).

 

Ce fut le cas par exemple, il y a quelques années, à Mischkolz en Hongrie, et si je prends cet exemple, c’est parce qu’il est remar-quable.

 

Dans une jeune église où j’étais invité à prêcher un soir, je n’eus pas à le faire, car l’onction était tellement forte que les paroles de connaissance concernant des maladies tombaient comme en rafa-les, avec une formidable précision, et nous priâmes ensuite pour les malades qui étaient guéris, parfois sur une simple parole d’autorité donnée grâce au don de la foi, par le micro et à dis-tance. La présence de D.ieu était très forte, très palpable, et il s’ensuivit que cinq ou six femmes qui étaient là pour la première fois, mais avec une grande soif de connaître le Seigneur, et sans doute un esprit de repentance intérieure très profond, tombèrent au sol en proie à des puissances démoniaques qui n’avaient au-cune envie de voir ces processus de nouvelle naissance conti-nuer.

 

Je me revois ensuite marcher entre les chaises pour aller vers ces femmes, l’une après l’autre. Il ne fallut que quelques très courtes minutes pour que toutes fussent délivrées. Ce fut bref et le fait de quelques paroles d’autorité puissante exprimées au nom de Jé-sus-Christ.

 

Si nous lisons les Evangiles, nous nous rendons compte que cette méthode fut aussi utilisée par le Seigneur Lui-même, ainsi que par ses disciples, Paul et la femme avec un esprit de Python à Philippes par exemple (Actes 16 :16). Mais quelque chose me frappe dans l’Écriture, c’est que ce type de délivrance est tou-jours court, rapide, et du même genre que ce que nous avons vécu à Mischkolz.

 

Que faut-il alors penser, je le répète, de certaines méthodes de délivrance qui durent des heures, voire des jours, et qui plongent le plus souvent les personnes à délivrer dans un abîme d’humiliation, voire de dégradation et de souffrances physiques et morales traumatisantes ?

 

Leçon : Là ou les démons sont chassés instantanément, il n’y a pas de dialogue prolongé avec eux et pas de souffrances inuti-les ni de souillure (cas de figure N°1).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Join the discussion One Comment

  • Danielle dit :

    Les églises ont tellement besoin de ces enseignements, cher Haïm. Combien de péchés cachés, de recours à la sorcellerie, de religion sans la foi… J’espère que ces extraits de ton livre « Vous avez dit délivrance ? » pourront éclairer et libérer de nombreux chrétiens. Merci Seigneur pour ces enseignements cruciaux donnés à ton serviteur.

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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