Dans la vidéo suivante (merci maujo pour le signalement) le journaliste Eric Brunet explique qu’il était impossible, à France Télévisions où il a passé 15 ans, de penser « autrement » qu’à gauche.
« Il fallait toujours être de gauche, avoir une vision de gauche, avoir des indignations de gauche, partager les offuscations de gauche » explique Eric Brunet.
Courageusement, Eric Brunet se met à nu et avoue que certaines fois, il « en pleurait le soir chez lui sous la douche », jusqu’au jour où il a rendu sa carte de presse « parce que c’était épouvantable pour moi de vivre dans des rédactions où une autre voix ne pouvait pas se faire entendre ».
« Je suis de droite et je suis libre » conclut Brunet. Les journalistes de gauche ne peuvent pas en dire autant : ils sont à la botte du parti.
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Je ne sais pas si vous vous rendez compte de la dose de courage nécessaire pour faire ainsi son coming out en milieu hostile.
Je ne sais pas si vous êtes conscient que les médias d’Etat, qui devraient être neutres car c’est un service public, les Figaro, Le Monde, Libération, l’Express etc, sont gangrénés par la CGT qui se comporte en terroriste de la pensée. Elle fait trembler les journalistes qui ne sont pas assez dociles, leur plante ses couteaux dans le dos, les briser et en fait des serpillères de journalistes. Et ils deviennent les serpillères du journalisme.
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