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comment le régime Iranien de Khamenei et de Rouhani fait souffrir atrocement les prisonniers qu’il fait exécu

By 4 décembre 2014Etz Be Tzion

Vidéo : comment le régime Iranien de Khamenei et de Rouhani fait souffrir atrocement les prisonniers qu’il fait exécuter


Vidéo : comment le régime Iranien de Khamenei et de Rouhani fait souffrir atrocement les prisonniers qu’il fait exécuter

Depuis Rohani le modéré, plus de 500 exécutions parfois sommaires, parfois pour des broutilles. Le pays promoteur du terrorisme international qui veut faire la morale aux Occidentaux.

20 et 18 Novembre 2014 nouvelles qui nous sont parvenues via le site Iran Human Rights Sur ces images des prisonniers sont pendus lentement par une grue, devant des citoyens Iraniens horrifiés.

Les militant-es et activistes du collectif Iran Human Rightsdemandent instamment à la communauté internationale de faire pression sur les autorités Iraniennes, afin quelles arrêtent définitivement leurs campagnes d’exécutions publiques inhumaines.

Ce 18 Novembre 2014 une séquence vidéo montrant les exécutions publiques de trois prisonniers qui ont eu lieu Samedi 15 Novembre2014 dernier à Bandar Abbas*1 a été publiée sur la chaine You Tube des militant-es et activistes du dite du collectif de l’agence Iranienne de défense des droits de l’homme Human Rights Activists News Agency ou HRANA . La vidéo *2 montre trois prisonniers le nœud coulant autour du cou , en train  d’être pendus lentement  par un camion grue, puis qui sont  ensuite exhibés sur fond de vociférations de leurs bourreaux devant des dizaines de personnes dont des enfants.

Cette méthode dites de strangulation lente a déjà été précédemment décrite dans d’autres article par Iran Human Rights ou IHR comme une des méthodes d’exécutions parmi les plus inhumaines pratiquée en Iran, où le prisonnier souffre pendant de longues minutes avant que son décès survienne par suffocation. Il y a plusieurs autre vidéos d’exécutions publiques similaires sorties clandestinement d’Iran. Qui nous montrent qu’avec cette méthode utilisée par les autorités iraniennes. Dans certains cas il faut attendre environ plus de 15 minutes, avant que le détenu ne décède dans d’atroces souffrances.

Iran Human Rights et le RSI invitent instamment tous les membres de  la communauté internationale et toutes les Organisations mondiales de défense des droits de l’homme,  à réagir fermement pour faire cesser définitivement les exécutions publiques en Iran. M. Mahmood Amiry-Moghaddam, le porte-parole du RSI a déclaré : « En plus d’être une punition inhumaine et dégradante, cette méthode d’exécution pratiquée par les autorités Iraniennes est de la torture pure et simple. Le prisonnier meurt non seulement d’une mort lente et douloureuse, mais en plus il est tué devant des enfants et des adultes horrifiés. La communauté internationale ne doit pas, et ne doit plus jamais tolérer que de tels châtiments barbares de la sorte puissent continuer a exister, surtout venant d’un pays qui est pourtant un membre à part entière de l’Organisation des Nations Unies ».

Au cours de la dernière session et de la publications du rapport de l’Examen Périodique Universel ou EPU le 31 Octobre 2014 dernier par l’Organisation des Nations Unies. Plusieurs pays ont instamment demandé à l’Iran, de faire cesser immédiatement ses campagnes d’exécutions publiques de masse. source

L’Iran défend sa politique des droits de l’homme à l’Onu

Mohammad Javad Larijani, secrétaire général du Haut Conseil iranien pour les droits de l’homme, devant le Conseil des droits de l’homme des Nations unies, à Genève. L’Iran a contre-attaqué vendredi face aux critiques des pays occidentaux concernant la hausse des exécutions de condamnés à mort dans le pays et l’augmentation de la répression en général, en rejetant le modèle occidental. /Photo prise le 31 octobre 2014/REUTERS/Pierre Albouy (c) Reuters

GENEVE (Reuters) – L’Iran a contre-attaqué vendredi face aux critiques des pays occidentaux concernant la hausse des exécutions de condamnés à mort dans le pays et l’augmentation de la répression en général.

Devant le Conseil des droits de l’homme des Nations unies, Mohammad Javad Larijani, secrétaire général du Haut Conseil iranien pour les droits de l’homme, un organisme du système judiciaire, a critiqué les pays qui veulent, a-t-il dit, « imposer leur mode de vie » en matière de droits de l’homme.

Le Conseil des droits de l’homme examine la situation des libertés dans chaque Etat membre tous les quatre ans.

Une Iranienne de 26 ans, Reyhaneh Jabbari, condamnée à mort pour avoir tué un homme qu’elle accusait d’avoir voulu la violer, a été pendue samedi, à la prison Evin de Téhéran. L’affaire a suscité une vive émotion dans le monde.

La famille de la victime n’a pas voulu lui accorder sa grâce à la condamnée.

« Nous n’avons pas réussi à solliciter le pardon dans le coeur des victimes (…) Nous sommes désolés que deux nationaux aient perdu la vie, mais la peine capitale, ou ‘qisas’, est une particularité de notre système. Je pense que certains pays occidentaux devraient s’y intéresser », a déclaré Mohammad Javad Larijani.

Selon le « qisas », qui signifie vengeance en droit musulman, le plus proche parent d’une victime, peut, si la justice l’approuve, prendre la vie d’un meurtrier.

« L’idée qu’il y a seulement de bonnes choses dans la communauté occidentale – ‘l’Occident et les autres’ est une idée très destructrice des droits de l’homme », a-t-il ajouté.

Il a dit avoir demandé aux proches de la victime de pardonner la jeune Reyhaneh Jabbari et de lui accorder la vie sauve. « Malheureusement, nous n’y sommes pas arrivés. Peut-être qu’une des raisons à cela a été l’énorme propagande créée autour de cette affaire », a-t-il dit.

LAPIDATION

Lors d’un point de presse ultérieur, Shadi Sadr, avocate iranienne qui avait défendu Reyhaneh Jabbari lors de ses deux procès, a déclaré qu’elle avait indiqué avoir été torturée.

L’homme qu’elle a tué avait travaillé pour les services secrets, selon Shadi Sadr, qui a fui l’Iran en 2009.

Faisant allusion au premier juge ayant eu à connaître de l’affaire, Shadi Sadr a raconté : « Le chef de la division nous a dit, à tous, les avocats, Reyhaneh et sa famille : ‘Je vous donnerai la peine de mort, ne me faites pas perdre mon temps parce qu’elle est coupable et elle doit être exécutée.’ »

Selon Mohammad Javad Larijani un procès équitable et l’indépendance du système judiciaire sont inscrits dans la constitution et les lois iraniennes. Les personnels judiciaire et carcéral sont formés aux droits de l’homme, dit-il.

Des Iraniens en exil ont accusé la délégation iranienne d’esquiver les questions ou d’induire en erreur ceux qui les interrogeaient.

« Ils ne sont pas venus ici pour répondre aux questions. Ils sont là pour jouer « , a déclaré Mohammad Nayyeri, exilé et membre de l’Association du barreau iranien, lors d’un point de presse. « Il n’y a pas d’appel pour les infractions liées à la drogue. La lapidation figure dans le nouveau code pénal », a-t-il ajouté.

L’Ambassadeur des Etats-Unis, Keith Harper, a appelé l’Iran à libérer Jason Rezaian, un journaliste du Washington Post, détenu depuis le mois de juillet, « pour montrer son engagement envers la liberté d’expression. »

L’ambassadeur adjoint du Royaume-Uni Mark Matthews a exprimé sa préoccupation à propos de « la forte hausse des exécutions en Iran au cours de l’année écoulée. »

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