Le pape François remplace Jésus par Marie, dit qu’elle est le «pont vers Dieu»
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Lorsque les réformateurs ont considéré que le pape de Rome était l’antéchrist, il devient de plus en plus évident qu’ils avaient raison. L’office du pape, selon le dogme catholique romain, a toujours été considéré comme l’office de représentation du Christ sur Terre – le «Vicaire du Christ» – qui est diamétralement opposé à l’enseignement des Écritures.
Rien de plus clair dans les Écritures que cela; Le Christ est assis à la droite de Dieu ( Actes 7: 55-56 ; Romains 8:34 ; Éphésiens 1:20 ; Colossiens 3: 1 ; Hébreux 1: 3 ; Hébreux 8: 1 ; Hébreux 10:12 ; Hébreux 12: 2 ; 1 Pierre 3:22 ; Apocalypse 3:21 ; Matthieu 22:44 ; Actes 2:33 ).
Pourtant, la propension de l’Église catholique romaine au blasphème est stupéfiante pour quiconque lit et croit la Parole de Dieu. Pour l’Église de Rome, Marie a été, pendant des siècles, une idole – un objet de culte et de vénération par les catholiques. Pourtant, l’Église n’a pas encore officiellement nommé Marie la co-rédemptrice avec le Christ. Mais le mouvement vers cet objectif fait de réels progrès.
Aujourd’hui, le pape a déclaré Marie «le pont qui nous unit à Dieu» – titre réservé au Christ seul. «Car il y a un seul Dieu, et il y a un médiateur entre Dieu et les hommes, l’homme Christ Jésus» ( 1 Timothée 2: 5 ).
Ce billet de Réforme Charlotte, quoique très juste, me paraît en même temps empreint d’une certaine naïveté. Il s’agit là d’un trait que j’ai rencontré, de temps en temps, dans la sphère protestanto-évangélique lorsqu’elle ne connaît rien ou presque de l’intérieur du système, car il est bien question ici d’un système, et des plus effroyables. Je ne considère évidemment pas les personnes qui s’égarent sincèrement faute de connaissance de la saine doctrine de Christ. Toutefois, celles qui parviennent vraiment à la connaissance de la Vérité qui est Yeshoua ne pourront éviter de prendre leurs jambes à leur cou ! Sortez du milieu d’elle !
Le pape actuel s’emploie de manière implacable, avec cette lèpre de l’oecuménisme, à mener à leur terme les oeuvres entreprises par ses nombreux prédécesseurs. Même si, pour l’apparence, Marie n’est pas encore dogmatiquement co-rédemptrice, dans les faits et les esprits, elle l’est déjà, et ce n’est ps nouveau… Si tant de pasteurs (trop) américains et même français se laissent corrompre en inclinant leurs antennes vers Rome jusqu’à renier sans vergogne les fondements de leur foi d’origine, je serais fort tenté d’en faire le lien avec l’article de Pierre-Sovann CHAUNY récemment paru sur ce blog. En particulier, j’en ai relevé, je cite : « une infiltration souvent progressive du libéralisme théologique «, et pour ma part, je rajouterais : une infiltration insidieuse parce que progressive, sans négliger, au moins pour les temps actuels, ceux qui s’engagent dans une apostasie débridée par motifs d’intérêt inavouables ou recherche de vaine gloire.
Non, la propension de l’Eglise catholique romaine au blasphème n’est pas « stupéfiante ». Ce n’est pas simplement une propension, c’est foncièrement sa nature même, ayant relégué depuis des lustres l’autorité des Ecritures sous le boisseau, et sans en faire mystère. Ne nous voilons pas les yeux, le culte mariale ancestral n’est pas seulement une fausse doctrine, mais il est une doctrine de démon, à l’instar de la doctrine du remplacement qui a induit les pogroms et la Shoa.
Pour quel but tout cela ? C’est évident. Afin de « gommer » coûte que coûte la mission et l’oeuvre du Seul et Grand Médiateur entre D.ieu et l’humanité, le Seigneur Yeshoua, l’unique Auteur de notre Rédemption et le remplacer par des idoles, en l’occurence Marie, dans le coeur de croyants pris dans les rets religieux de l’oiseleur.
Signé: le Menteur, Satan. Il a des ouvriers remplis de zèle, et le fameux François l’illustre parfaitement.
Je renvoie, entre autres, à l’article de Jeff MAPLES du 14/03/2019, mis sur le blog le 25/02 dernier.