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INSEPARABLES de Haïm Goël / Extrait N°10 : Ephésiens 6 : 5 et 6 / Conséquences de la chute de Lucifer

Ephésiens 6 : 5 et 6 : « Serviteurs, obéissez à vos maîtres selon la chair avec crainte et tremblement, dans la simplicité de votre cœur, comme à Christ, non pas seulement sous leurs yeux, comme pour plaire aux hommes, mais comme des serviteurs de Christ, qui font de bon cœur la volonté de D.ieu. Servez-les avec empressement, comme servant le Seigneur  et   non  des  hommes ».  Et   pour  qu’aucun  doute ne  subsiste,  Paul   ajoute   : « sachant que chacun, soit esclave, soit libre recevra du Seigneur selon ce qu’il aura fait de bien. ». Cette parole est donc bien adressée à tous les types de serviteurs, libres ou esclaves.

 

Le problème culturel que nous avons, hommes dits modernes, avec cette Ecriture, est par exemple que nous avons troqué le mot serviteur avec celui de travailleur, avec comme corollaire les revendications libertaires de tous ordres qui accompagnent ce mot nouveau en nous écartant, nous éloignant des valeurs bibliques relationnelles entre un N°1, un chef et un N°2 un serviteur.

Il en est également ainsi du contenu vivant, effectif, sans restriction mentale dans l’application  de mots comme « avec crainte et tremblements », « obéissez » ou « servez-les avec empressement  comme servant le Seigneur ». Bien des grands soirs illusoires, bien des révolutions sont passés par là pour rendre ces mots insupportables à l’oreille et au mental de l’homme moderne. Bien des illusions consuméristes qui nous promettent jouissances illusoires et faciles font que le même homme moderne regarde ces mots comme vieilleries rances et absolument disqualifiées.

 

En tant qu’enfants de D.ieu nous devons quant à nous rejeter vigoureusement la vision du monde et privilégier la vision biblique car, si les hommes changent et adaptent « leur monde » au gré de leurs égoïsmes et de leurs lâchetés – ces deux choses se suivent très vite -, D.ieu est immuable en ce qu’Il a  éternellement établi comme valeurs et principes pour notre vrai bonheur à tous.

 

La semaine suivante, à l’heure du rendez-vous avec mon chef hiérarchique, je me revêtis de tout ce que j’avais eu le temps de méditer en profondeur d’Ephésiens et me dirigeai vers le bureau de mon chef, convaincu qu’il me fallait vivre ces valeurs bibliques avec une totale conviction. Ce que je fis en actes et paroles, créant au passage un effarement superbe chez mon supérieur car, en tant qu’individu profondément imprégné de valeurs communistes prétendument égalitaristes, usant systématiquement du « tu » et du « camarade » et demandant que l’on en usât de même avec lui, il n’avait jamais vu  un « serviteur-travailleur-camarade » le traiter avec un aussi sincère respect et autant de soumission appliquée, visant à mettre chacun bien à sa place dans ses fonctions respectives.

 

Ce jour-là en sortant du bureau de mon « maître-chef-camarade » j’entendis clairement la voix de D.ieu au fond de mon cœur : « A présent tu as passé le dernier test de type  N°2 et tu es prêt à me servir à temps plein ».  Il est significatif que j’avais passé au cours des deux années précédentes mon test de N°2 face à mon père et que j’allais dans les années suivantes passer tous mes tests de  N°1 époux et père de famille et être peu à peu initié à mon rôle apostolique, rôle de simple serviteur (N°2 face à D.ieu et N°1 en position de don de soi au sens le plus vrai et le plus profond face au Corps, la Kehila).

 

 

                                                                                                   CHAPITRE 4

                                                                            Conséquences de la chute de Lucifer

 

 

 

 

Après l’épisode tragique de la chute et le néant de Satan et sa désespérante crise identitaire en éternelle chute libre, à quelles œuvres pouvait encore s’attacher Satan ? A une seule œuvre : entraîner la création dans sa chute en lui appliquant les mêmes principes que celle-ci.

 

 

QUELLE SERA SA STRATEGIE ?

 

Elle sera d’une inouïe simplicité  et logique, une logique forcément logique de son point de vue. Elle entraînera un chaos identitaire et fonctionnel – je parle des fonctions spirituelles N°1 et N°2 – absolument tragique et dont l’humanité, sans le secours d’un Sauveur, n’aurait jamais pu se dépêtrer. Le piège et ses conséquences furent à ce point malins et impitoyables, car ils établissent leur projet sur une inversion absolue, « parfaite », des valeurs établies par HaShem*, qu’une immense partie de l’humanité en subit toujours les conséquences dans une vallée de larmes infinies. Et cela est vrai aussi, du fait du manque d’enseignement, chez un grand nombre de croyants.

 

Relisons Beréchit (Genèse) chapitres 1, 2, 3 en entier.

 

Genèse 1 :

 

« Au commencement, D.ieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de D.ieu se mouvait au-dessus des eaux. D.ieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. D.ieu vit que la lumière était bonne ; et D.ieu sépara la lumière d’avec les ténèbres. D.ieu appela la lumière jour, et Il appela les ténèbres nuit.

Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour. D.ieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux. Et D.ieu fit l’étendue, et Il sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue.

Et cela fut ainsi. D.ieu appela l’étendue ciel. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le second jour. Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous  du  ciel  se  rassemblent  en  un

 

* HaShem signifie « le Nom » en hébreu, à savoir le nom imprononçable du créateur, YHWH.

 

 

seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. D.ieu appela le sec terre, et Il appela l’amas des eaux mers. D.ieu vit que cela était bon. Puis D.ieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi.

La terre produisit de la verdure, de l’herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. D.ieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le troisième jour. D.ieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre.

Et cela fut ainsi. D.ieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit ; Il fit aussi les étoiles. D.ieu les plaça dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres. D.ieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour. D.ieu dit : Que les eaux produisent en abondance des animaux vivants, et que des oiseaux volent sur la terre vers l’étendue du ciel. D.ieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants qui se meuvent, et que les eaux produisirent en abondance selon leur espèce ; Il créa aussi tout oiseau ailé selon son espèce. D.ieu vit que cela était bon. D.ieu les bénit, en disant : Soyez féconds, multipliez, et remplissez les eaux des mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre.

Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le cinquième jour. D.ieu dit : Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi. D.ieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles de la terre selon leur espèce. D.ieu vit que cela était bon. Puis D.ieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. D.ieu créa l’homme à son image, Il le créa à l’image de D.ieu, Il créa l’homme et la femme. D.ieu les bénit, et D.ieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez ; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre. Et D.ieu dit : Voici, Je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence : ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, Je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. D.ieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour ».

Genèse 2 :

 

« Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. D.ieu acheva au septième jour son oeuvre, qu’Il avait faite : et Il se reposa au septième jour de toute son oeuvre, qu’Il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et Il le sanctifia, parce qu’en ce jour Il se reposa de toute son oeuvre qu’il avait créée en la faisant. Voici les origines des cieux et de la terre, quand ils furent créés. Lorsque l’Éternel D.ieu fit une terre et des cieux, aucun arbuste des champs n’était encore sur la terre, et aucune herbe des champs ne germait encore : car l’Éternel D.ieu n’avait pas fait pleuvoir sur la terre, et il n’y avait point d’homme pour cultiver le sol. Mais une vapeur s’éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol. L’Éternel D.ieu forma l’homme de la poussière de la terre, Il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant. Puis l’Éternel D.ieu planta un jardin en Éden, du côté de l’orient, et Il y mit l’homme qu’Il avait formé. L’Éternel D.ieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l’arbre de la vie au milieu du jardin, et l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Un fleuve sortait d’Éden pour arroser le jardin, et de là il se divisait en quatre bras. Le nom du premier est Pischon ; c’est celui qui entoure tout le pays de Havila, où se trouve l’or. L’or de ce pays est pur ; on y trouve aussi le bdellium et la pierre d’onyx. Le nom du second fleuve est Guihon ; c’est celui qui entoure tout le pays de Cusch. Le nom du troisième est Hiddékel ; c’est celui qui coule à l’orient de l’Assyrie. Le quatrième fleuve, c’est l’Euphrate.

 

L’Éternel D.ieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Éden pour le cultiver et pour le garder. L’Éternel D.ieu donna cet ordre à l’homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. L’Éternel D.ieu dit : Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; Je lui ferai une aide semblable à lui. L’Éternel D.ieu forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et Il les fit venir vers l’homme, pour voir comment Il les appellerait, et afin que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l’homme. Et l’homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à tous les animaux des champs ; mais, pour l’homme, il ne trouva point d’aide semblable à lui. Alors l’Éternel D.ieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit ; Il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place.

 

L’Éternel D.ieu forma une femme de la côte qu’Il avait prise de l’homme, et Il l’amena vers l’homme. Et l’homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair ! On l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. L’homme et sa femme étaient tous deux nus, et ils n’en avaient point honte ».

 

Genèse 3 :

 

« Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Éternel D.ieu avait faits. Il dit à la femme : D.ieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, D.ieu a dit : Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point ; mais D.ieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea.

 

Les yeux de l’un et de l’autre s’ouvrirent, ils connurent qu’ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s’en firent des ceintures. Alors ils entendirent la voix de l’Éternel D.ieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l’Éternel D.ieu, au milieu des arbres du jardin.

 

Mais l’Éternel D.ieu appela l’homme, et lui dit : Où es-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éternel D.ieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. Et l’Éternel D.ieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé.

 

L’Éternel D.ieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. Il dit à la femme : J’augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. Il dit à l’homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre : Tu n’en mangeras point !, le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l’herbe des champs. C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière. Adam donna à sa femme le nom d’Eve : car elle a été la mère de tous les vivants. L’Éternel D.ieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. L’Éternel Dieu dit : Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre de vie, d’en manger, et de vivre éternellement. Et l’Éternel D.ieu le chassa du jardin d’Éden, pour qu’il cultivât la terre, d’où il avait été pris. C’est ainsi qu’il chassa Adam ; et il mit à l’orient du jardin d’Éden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l’arbre de vie ».

 

Avant d’aborder l’épisode de la  chute  et  de  la  stratégie  de  Satan,  prenons  la  peine  de commenter et de méditer un peu sur un des contenus essentiels qui résident dans l’Ecriture avant cet épisode de la chute.

 

Les chapitres 1 et 2 de la Genèse nous montrent clairement qu’il s’est passé un temps important entre la création de l’homme et celui de la femme qui selon certains commentateurs, dont je suis, se trouvait faire partie de l’homme (l’humain) avant que D.ieu ne la crée à partir de son côté : Gen. 2 : 27 : « … c’est à l’image de D.ieu qu’Il le créa, mâle et femelle Il les créa » (traduction littérale de l’hébreu).

Au départ donc, l’homme N°1 et le femme N°2 faisaient un tout, un EHAD (unité en hébreu). En cela, mais pas seulement en cela (lisez mon livre EHAD sur le couple à ce sujet), l’homme était bien créé à l’image de D.ieu en qui l’unité  (Père/Fils par exemple) est parfaite.

 

C’est le sens des versets 26 et 27 de Beréchit 1 (Genèse) : « Puis D.ieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. D.ieu créa l’homme à son image, Il le créa à l’image de D.ieu, Il créa l’homme et la femme ».

 

Résumons : D.ieu a donc créé le genre humain en deux étapes :

 

1/ D.ieu crée l’homme N°1 et N°2 unis en un seul être, à son image d’unité (Genèse 1 : 26 et 27, comme nous venons de le lire)

 

2/ D.ieu tire la femme (N°2) du côté de l’homme dans le but de placer le N° 2 qu’elle est  en position de commencer avec lui une longue histoire, celle de la race humaine : Gen. 2 : 21 à 24 :

«  Alors l’Éternel D.ieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit ; Il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Éternel D.ieu forma une femme de la côte qu’Il avait prise de l’homme, et Il l’amena vers l’homme.

 

Et l’homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair ! On l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. L’homme et sa femme étaient tous deux nus, et ils n’en avaient point honte ».

 

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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