Le gouvernement Obama va-t-il criminaliser la liberté d’expression via la « H. RES. 569 » et signer l’arrêt de mort du Premier Amendement ?
Après chaque attentat meurtrier, commis par les adeptes de la “religion” d’amour, de tolérance et de paix, la caste politique, inquiète de la juste montée de l’islamophobie, s’empresse à restreindre l’une de nos valeurs démocratiques fondamentales : la liberté d’expression. Peu à peu, la censure grignote nos droits, afin de mieux protéger ceux dont les discours de haine, les menaces et les actes de violence à notre encontre ne cessent d’exploser.
Si Kafka avait vécu à notre époque, il aurait été aux anges
Situation ubuesque, s’il en est, où les victimes sont culpabilisées et les coupables victimisés. Si Kafka avait vécu à notre époque, il aurait été aux anges.
Le plus bel exemple de cette inversion de la réalité nous vient de l’Amérique sous l’ère d’Obama, un fervent admirateur de la plus belle « religion » du monde, selon ses déclarations enflammées : l’islam !
Quinze jours, à peine, après l’attentat de San Bernardino, au cours duquel deux terroristes islamistes massacrèrent quatorze personnes et blessèrent vingt trois autres, le sénateur démocrate Donald S. Beyer de Virginie introduisit à la Chambre des Représentants une résolution (H. RES. 569) condamnant la violence, le fanatisme et les discours de haine envers … les musulmans.
82 démocrates, parmi les plus éminents, apportèrent leur soutien à cette résolution 569, pour la plus grande joie de l’OCI, cette puissante organisation islamique dont l’objectif est d’imposer le délit de blasphème à l’Occident, visant à criminaliser toute critique de l’islam.
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La Résolution 569 :
“Les victimes de crimes et de discours anti-musulmans haineux ont été confrontées à des violences physiques, verbales et émotionnelles pour la simple raison qu’ils étaient musulmans ou supposés tels et la Chambre des Représentants exprime ses condoléances aux victimes de la haine anti-musulmane. » (sic)
Mais quelles victimes ?
Selon le FBI, sur les 1.149 crimes de haine déclarés aux USA en 2014, seuls 16.1% furent dirigés contre les musulmans. Par contre, plus de la moitié des crimes de haine antireligieux furent dirigés contre les Juifs, soit 56.8% et 8.6% contre les Chrétiens (protestants et catholiques).
La Résolution 569 dénonce fermement l’augmentation des discours de haine, d’intimidation, de violence, le vandalisme, les incendies criminelles et autres délits visant les mosquées, les musulmans ou quiconque perçu comme musulman. Rien n’est mentionné au sujet des crimes de haine à l’encontre d’autres religions.
La Résolution semble considérer les musulmans américains comme un groupe religieux particulièrement vulnérable qui a besoin d’une protection tellement spéciale qu’elle exhorte les autorités de police fédérale et locale d’agir en vue de prévenir les crimes de haine et de poursuivre en justice, dans la plus large mesure possible conformément à la loi, les coupables de crimes de haine.
Qu’appelle-t-on un crime de haine dans ce contexte ?
La loi interdit déjà la violence et les menaces de violence, et les autorités sont supposées poursuivre quiconque enfreint la loi, qu’il s’agisse d’intimidation, de destruction, de vandalisme, d’attaques simples ou aggravées. Toutefois, comme cette résolution inclut le « fanatisme religieux » et les « discours de haine », les Américains devraient s’inquiéter, car ce sont ces deux délits auxquels la résolution fait allusion, quand elle exhorte les Autorités à appliquer la loi et à poursuivre les crimes de haine.
Au cours du dîner célébrant le 10ème anniversaire du « Muslim Advocates » – un important cabinet d’avocats au service de la défense des droits des musulmans américains – Loretta Lynch, Procureure générale, exprima sa préoccupation au sujet de la montée incroyablement inquiétante des discours de haine anti-musulmans.
Loretta Lynch s’empressa, après l’attentat de San Bernardino, d’apporter son soutien, non aux familles des victimes, mais à la communauté musulmane traumatisée
Cette même Loretta Lynch s’empressa, immédiatement après les attentats de San Bernardino, d’apporter son soutien, non aux familles des victimes de l’attaque terroriste islamiste, mais à la communauté musulmane traumatisée, apeurée par d’éventuelles représailles …
Selon son site web, le groupe « Muslim advocates » entretient des liens puissants avec le Congrès et la Maison Blanche et veille à ce que les préoccupations des musulmans américains soient entendues par le gouvernement au plus haut niveau. Ces « gardiens de la justice », s’empressent de traduire devant les tribunaux quiconque menace les droits des musulmans américains.
De nombreux musulmans extrémistes, toutefois, ne semblent avoir aucun problème quand ils profèrent des discours de haine envers d’autres religions ou d’autres musulmans. Certains « critiquent » les Chrétiens comme nous avons pu le constater, en les égorgeant, en les brûlant ou en les noyant, mais là, aucune réaction : la critique de l’islam est – de loin – plus criminelle que le massacre d’innocents.
De nombreux extrémistes musulmans peuvent impunément critiquer et insulter les Juifs, en les appelant « descendants des singes et des porcs ». D’autres ne se privent pas d’écrire ou de hurler que tous les Juifs doivent être tués. Mais là encore, silence ! Aucune H.Res.569 ne pointe son nez !
En Suède, l’antisémitisme est devenu une simple « différence d’opinion », mais parler d’immigration de masse est un délit raciste !
L’antisémitisme musulman est tellement banalisé dans nos sociétés que ce crime laisse les responsables politiques indifférents, comme en Suède, où seule l’islamophobie retient l’attention de la caste dirigeante.
L’immigration arabo-musulmane a fortement influencé la façon dont la majorité des Suédois perçoivent l’antisémitisme. L’antisémitisme devient juste une simple « différence d’opinion » et n’est donc plus condamnable. Parler « d’immigration de masse », par contre, est un délit raciste !
En Norvège, le musulman Mohsan Raja, élu Citoyen de l’année en 2015 par les lecteurs du plus grand quotidien d’Oslo, en remerciement de son travail de bénévole auprès des associations « Nattevaktene » qui vient en aide aux gens perdus et « Refugees welcome in Norway », avait posté sur sa page FB : « Mort à Israël et longue vie à la charia » !
Cette information, ainsi que d’autres discours particulièrement offensifs envers les femmes, les homosexuels, et la liberté d’expression furent révélés par le journal Aftenposten après son élection.
A ce jour, la H.Res.569 a été présentée au Comité de la Chambre des Représentants pour validité juridique. Espérons que le Comité perçoive que cette résolution est une tentative sournoise de détruire le Premier Amendement, de protéger l’islam de toute critique, prélude à l’arrêt de mort de la liberté d’expression.
En présentant la Résolution, les 82 démocrates signataires pourraient réaliser le rêve des Frères Musulmans pour l’Amérique :
«Eliminer et détruire la civilisation occidentale de l’intérieur et saboter leur misérable demeure… pour permettre à la religion d’Allah de triompher sur toutes les autres religions. »
Pour ce faire, il est donc impératif pour eux de remplacer la Constitution par un système autoritaire qui nie les droits les plus élémentaires aux femmes et aux non musulmans. La plupart des groupes musulmans américains ont des liens avec les Frères Musulmans.
Et ils pourraient également … transformer l’obsession de l’OCI en une funeste réalité :
« Criminaliser toute critique de l’islam en rétablissant le délit de blasphème, passible de la peine de mort dans certains pays membres de l’OCI. »
Pour la survie de nos démocraties, l’islam devrait être inclus dans le sinistre club des idéologies totalitaires criminelles, au même titre que le nazisme et le communisme, et être carrément interdit en Occident, car totalement incompatible avec nos valeurs judéo-chrétiennes et notre héritage civilisationnel gréco-romain.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source : » US Criminalizing Free Speech? by Judith Bergman – Gatestone Institute
