Même si le sujet de cet article est dégoûtant, ce n’est pas une raison suffisante pour l’ignorer.
Il ne suffit pas que les musulmans attaquent, vandalisent et incendient continuellement les églises dans les régions d’Europe occidentale qui abritent une présence islamique importante. Une autre tactique, plutôt sordide, semble se développer : les églises sont désormais régulièrement profanées et souillées d’excréments humains et animaux.
Le 3 avril, une église britannique qui propose des services d’aide aux réfugiés a été vandalisée, notamment en étant enduite d’excréments de chien. Deux semaines plus tôt, le 15 mars, deux églises en Allemagne avaient été profanées par des excréments ; dans l’un d’eux, les excréments ont été trouvés près de l’ autel .
Quelques jours auparavant , des vandales sont entrés par effraction et ont pillé une église en Italie, laissant des excréments humains sur le sol. “Le curé”, ajoute le rapport , “a exprimé son choc et son dégoût face à ce geste de dégradation et d’irrespect”. En Italie également, deux mois plus tôt, des excréments et de l’urine avaient été retrouvés mélangés dans les bénitiers (vases d’eau bénite où les fidèles trempent leurs doigts avant de se signer) d’une autre église.
Des exemples similaires remontent à plusieurs décennies. En 2019, un événement particulièrement irrévérencieux s’est produit : des envahisseurs ont utilisé des excréments humains pour dessiner une croix sur l’église Notre-Dame des Enfants de Nîmes. En France, les attaques contre les églises sont en moyenne de deux par jour.
L’identité des auteurs du caca n’est souvent jamais découverte. Parfois, ils sont intentionnellement dissimulés, comme dans ce cas en Espagne, où des caméras de surveillance ont capturé un « jeune » déféquant à l’intérieur d’une église et étalant ses excréments sur une statue du Christ ; la vidéo n’a été rendue publique qu’après que le visage du coupable ait été flouté.
Cela dit, il est révélateur que la grande majorité des cas se produisent précisément dans les pays occidentaux qui abritent d’importantes populations musulmanes, comme l’Allemagne ( ici , ici , ici , ici ) ; France ( ici , ici , ici , ici ) ; Italie ( ici , ici , ici ), et ainsi de suite, et ainsi de suite.
Il convient de noter que plusieurs églises ont été ciblées à plusieurs reprises. Anrul Lourdu, pasteur d’une église allemande, a été enduit d’excréments de chien pendant plusieurs mois consécutifs. a exprimé sa consternation :
Nous sommes sans voix et, en même temps, impuissants. Ce qui se passe est tout simplement indigne, peu attrayant et inhumain. Nous ne savons plus quoi faire.
En Italie, après que des excréments aient été retrouvés sur les poignées de porte d’une autre église, le père Angelo Rivas a exprimé la même résignation :
C’est une escalade. Les premiers vandales urinaient dans le cimetière, mangeaient et laissaient de la terre. Il y a seulement une semaine, ils ont souillé les poignées de porte avec de la bouse, et maintenant ils ont mis le feu [à l’église]. Que devrions nous faire?
Plutôt que d’assurer que justice soit rendue, attraper les coupables peut entraîner davantage de problèmes. Parlant de la façon dont sa cathédrale en France était profanée « quotidiennement » avec des excréments et de l’urine, un prêtre a déclaré : « Même lorsque vous les surprenez en flagrant délit, ils n’ont pas peur. Cela pourrait presque devenir violent.
Il va sans dire que les églises du monde musulman ont vécu des expériences similaires, soulignant encore davantage l’identité des bandits fécaux qui sévissent dans les églises européennes.
Par exemple, après que des musulmans ont incendié cinq églises au Kenya, ils ont également « commis des actes odieux consistant à répandre des excréments humains sur les bâtiments ». En Tunisie, pays arabe le plus modéré, des matières fécales ont été répandues sur les icônes religieuses et les murs d’une église. Un jour de Noël en Indonésie, des femmes et des enfants musulmans ont jeté des sacs en plastique remplis d’excréments et d’urine sur des chrétiens qui tentaient de célébrer leur jour saint. (En Indonésie également – qui est souvent présentée comme la nation musulmane la plus « modérée » au monde – un policier musulman a violemment étalé des excréments sur le visage d’un chrétien, prétendument « blasphémé » contre Mahomet.)
On retrouve même cette tactique sordide à l’œuvre tout au long de l’histoire. En 1147, au Portugal, les musulmans arboraient « avec beaucoup de dérision le symbole de la croix », écrit un chroniqueur. “Ils crachaient dessus et essuyaient les excréments de leurs postérieurs avec.” Des décennies plus tôt, à Jérusalem, les musulmans « crachaient sur [des crucifix] et ne s’abstenaient même pas d’uriner dessus à la vue de tous » ( Sword and Scimitar , pp. 171, 145).
Tel est, en bref, la haine et le mépris grotesques que certains membres de la « religion de paix » éprouvent envers les églises et ceux qui y adorent.
