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Le récit terrifiant d’une victime de Cologne JForum.fr

By 7 janvier 2016mai 13th, 2020Lève-toi !

Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, des agressions sexuelles en masse ont eu lieu à Cologne parmi la foule rassemblée devant la gare centrale et sur le parvis de la cathédrale pour admirer les feux d’artifices. © epa.

« J’en ai pleuré toute la nuit ». Maria, victime d’une agression sexuelle lors du Réveillon à Cologne, est toujours sous le choc. Son récit est terrifiant. « J’ai crié au secours et ils se moquaient de moi », a-t-elle raconté dans Bild.

Pour le magazine allemand Der Spiegel, « Cologne est choquée ». Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, des agressions sexuelles en masse ont eu lieu à Cologne parmi la foule rassemblée devant la gare centrale et sur le parvis de la cathédrale pour admirer les feux d’artifices. Selon les premiers témoignages, environ un millier d’hommes, qui « d’après leur apparence physique seraient originaires des pays arabes ou d’Afrique du Nord », ont attaqué en groupe des dizaines de femmes. Ils en ont profité pour toucher leurs poitrines et leurs parties génitales ou leur voler leurs smartphones, portefeuilles et autres objets de valeur, comme le rapporte le quotidienSüddeustche Zeitung. Focus a diffusé une vidéo amateur tournée à Cologne en plein chaos (voir sous l’article).

Le journal Bild est parvenu à recueillir quelques témoignages. Pour des raisons d’ordre privé, les victimes sont restées anonymes. Avec une amie âgée de 22 ans, Maria était présente à Cologne la nuit du Réveillon.

« C’était le chaos dans le métro »
« Nous avons commencé par regarder le feu d’artifice depuis le Hohenzollernbrug. Ensuite, nous avons pris le métro pour faire la fête ailleurs. Mais c’était déjà le chaos dans le métro. Il était envahi par des étrangers. Ils ont commencé par nous peloter directement. Leurs mains allaient vraiment partout. J’ai senti un doigt dans chaque orifice de mon corps. J’ai crié au secours et ils se moquaient de moi. Soudain, ils ont enlevé ma veste et essayé de me voler mon smartphone. Mais je n’ai rien lâché. Ils ont fini par me dérober mon rouge à lèvres. »

Même son de cloche pour Linda. Son témoignage est également terrifiant.

« Ils ont retiré la culotte d’entre elles »
« À la gare, plusieurs hommes rassemblés en groupes agressaient sexuellement des femmes. Beaucoup d’entre elles tombaient au sol et elles étaient traînées par les jambes. J’ai même vu comment ils sont parvenus à retirer la culotte de l’une d’entre elles. Je n’ai pas vite peur mais j’ai quand même quitté la gare en panique », raconte Linda.

Le ministre de la Justice allemand, Heik Maas (SPD) parle d’une « dimension totalement nouvelle de la criminalité organisée », comme le rapporte l’hebdomadaire Der Spiegel. Seules cinq personnes (entre 18 et 24 ans) ont été arrêtées sur les lieux du drame. Elles ne sont pas connues des forces de police.

 

 

1000 hommes en folie à Cologne la nuit de la Saint-Sylvestre… Vive les migrants ?

Nuit de la Saint-Sylvestre à la gare centrale de Cologne
Un groupe de 1 000 hommes en a été le point de départ – Un viol a eu lieu à Cologne

Elles souhaitent fêter la Saint-Sylvestre avec gaieté et entrain – et sont harcelées sexuellement et dévalisées. Des douzaines de femmes ont été les victimes d’un important groupe d’agresseurs à Cologne, aux alentours de la gare. La police se montre choquée par l’ampleur des faits.

Des scènes révoltantes se seraient déroulées au cours de la nuit de la Saint-Sylvestre, à l’ombre de la cathédrale de Cologne. Une multitude de personnes se sont rendues à Cologne pour y célébrer le passage au nouvel an. Un flot de voyageurs venus pour s’amuser passe sur le parvis de la gare pour rejoindre le centre-ville. Et subitement, des feux d’artifice sont tirés au milieu de la foule. De manière totalement incontrôlée, selon les paroles de Michael Temme, directeur en chef de la police.

Un groupe d’environ 1 000 hommes fortement alcoolisés – comme le décrit la police – se comporte de façon entièrement décomplexée, agressive et sans se soucier le moins du monde de la présence des policiers. Interrogés lundi à ce sujet, les enquêteurs soulignent : oui, le groupe a grossi jusqu’à atteindre le chiffre estimé de 1 000 personnes. La direction de l’intervention a demandé des renforts. Pour éviter une panique imminente, la police a évacué la place par moments.

« Délits sexuels sous une forme extrême et un viol »

Ce n’est que dans la nuit et au cours des jours suivants qu’on se rend compte de l’étendue des violences exercées semble-t-il par le groupe. Le président de la police de Cologne, Wolfgang Albers, parle lundi de «délits d’une dimension absolument inédite » et de « délits sexuels sous un forme extrême ». « Il est inadmissible que de tels délits soient commis en plein centre-ville », déclare Albers. Des femmes auraient été victimes d’attouchements, harcelées et dévalisées, et on parle également d’un viol.

Les auteurs des faits seraient d’après le président de la police des hommes originaires « selon leur apparence de pays arabes ou d’Afrique du Nord », à en croire les descriptions unanimes des témoins. Les individus seraient âgés entre 15 et 35 ans. Selon ses propres déclarations, la police n’en savait pas plus lundi.

La police s’attend à d’autres plaintes

La police reçoit les déclarations de 80 personnes qui se disent victimes des agresseurs. Il y a 60 plaintes pour délits sexuels et vols. « Nous nous attendons à d’autres faits, qui ne nous ont pas encore été signalés », estime Albers. Le groupe d’enquête « Nouvel An » est renforcé, pour retrouver la trace des coupables. Des vidéos sur téléphones portables et du matériel provenant de caméras de surveillance sont notamment exploités.

Selon les indications du directeur de la police, Temmes, « toutes les forces d’intervention dont nous disposions »étaient sur les lieux. Mais les fonctionnaires de police n’ont apparemment rien remarqué des agressions sexuelles et des vols. « Nous ne l’avons appris que par les plaintes déposées », dit Wolfgang Wurm, président du commissariat de police fédérale compétent de Sankt Augustin.

Main à la culotte d’une policière en civil

De la même façon que lors des violents incidents avec les hooligans en octobre 2014 sur le parvis de la gare, qui avaient fait la une dans toute l’Allemagne, le président de la police est obligé de se justifier : « À Cologne, il n’existe pas de zone de non-droit. Nous sommes intervenus avec des forces en grand nombre » souligne-t-il.

« C’est une dimension entièrement inédite des violences. Jusqu’à présent, nous n’avons rien connu de tel », précise Arnold Plickert, président du syndicat de la police GdP pour le Land de Rhénanie du Nord. « Un des délinquants a porté la main à la culotte d’une policière en civil, selon Plickert. Parmi les fonctionnaires de police ayant participé à l’intervention règne un « profond désarroi ».

Madame le bourgmestre de Cologne, Henriette Reker (sans parti) qualifie les incidents de « révoltants ». Il n’est pas acceptable que des visiteurs venant à Cologne aient à craindre d’être agressés, a déclaré Reker au journal « Kölner Stadt-Anzeiger ». Elle a fixé une réunion de crise ce mardi concernant ces violences. Les discussions devraient porter sur la nécessité d’une extension de la vidéosurveillance dans la gare centrale.

Au regard des fêtes de carnaval qui s’annoncent, le président de la police, Albers, met en garde : « Nous ferons tout pour que de tels faits ne se reproduisent pas. »

Ivan Jurcevic : « Des femmes venaient me supplier de les laisser entrer dans l’hôtel car elles étaient pourchassées par des immigrés qui voulaient les violer »

Allemagne – Ivan Jurcevic est un professionnel des rings de spots de combat, devenu acteur et metteur en scène dans des films allemands d’action. Depuis 1989, il est aussi chaque année « videur » à l’entrée  de l’Hôtel Excelsior de Cologne le soir du réveillon de Nouvel An. Il était bien placé pour voir le calvaire qu’ont vécu de nombreuses femmes ce soir-là.

Dans une vidéo postée sur son compte Facebook, Ivan Jurcevic raconte  que des femmes venaient le supplier de les laisser entrer dans l’hôtel car elles étaient pourchassées par des immigrés qui voulaient les violer.

Ivan Jurcevic décrit la nuit d’horreur. Des immigrés crachaient sur les clients de l’hôtel, les frappaient. Ils ont attrappé des gens, les ont tabassés et piétinés. Les policiers etaient en nombre insuffisant pour mettre fin à ces horreurs. Des groupes d’immigrés tiraient avec des fusées en direction des gens, des policiers, des voitures de police, de la cathédrale aussi.

Ivan Jurcevic dit mot pour mot: « Je croyais que cetait de la propagande d extrême droite, de Pegida, mais non! C etait bien réel ! » Il ajoute « Lors du carnaval de Cologne, ça va exploser!  »

Ivan Jurcevic a par la suite donné des interview à la presse sur ce qu’il avait vu.

« Beaucoup sont arrivés sur place en début de soirée avec des bouteilles de bière et d’alcool à la main. La plupart d’entre eux étaient déjà ivres. »

Les clients de l’hôtel qui fument à l’extérieur de l’entrée sont accostés. Ils voulaient s’emparer des femmes.

Il voit des femmes fuir vers lui et le supplier de les aider. Leurs poursuivants suivent et menacent l’entraîneur d’arts martiaux bien connu. «Je fais 1m98 et je pèse 130 kilos. Il ne faut pas me chercher.», dit-il.

Il frappe l’un des assaillants et se retire dans l’entrée de l’hôtel. D’autres immigrés lui promettent de le tuer.

De l’intérieur, Ivan et les clients de l’hôtel assistent incrédules à des scènes d’une violence inouïe. Des agressions sexuelles, des bagarres au coûteau, des gens tabassés…

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