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Les 10 bonnes raisons qu’a Israël d’annexer ses territoires Publié le : 7 novembre 2014. Pour la plupart d’entre nous c’est chose connue mais un rappel…

By 10 novembre 2014Etz Be Tzion

Les 10 bonnes raisons qu’a Israël d’annexer ses territoires

Publié le : 7 novembre 2014

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Un cambrioleur vous dépouille de votre bien, vous le récupérez, et l’on vous traite de voleur ? Il est temps que justice soit rendue au propriétaire !

Le rapport du juge Edmond Lévi appelle à légaliser les avant-postes de Judée et Samarie.

Les implantations israéliennes en Judée-Samarie ne sont pas des colonies. La présence juive dans la région s’est poursuivie sans discontinuer depuis plus de 3000 ans. Il s’agit de localités juives en territoire à majorité arabe de même qu’il existe des localités arabes en Israël. Dans leur ensemble, ces implantations ne représentent que 5% du territoire de Judée-Samarie.

L’ONU elle-même a utilisé les termes de Judea et de Samaria dans le texte de la résolution 181 de novembre 1947 pour désigner précisément, dans sa partie 2, les frontières des deux États, arabe et juif, à créer par le partage de la Palestine mandataire.

Les Médias et les antisémites gros producteurs de mensonges matraquent à longueur de journée la population avec le mot occupation – on finit par faire croire qu’en réalité Israël occupe la Judée et la Samarie. Or sur le plan historique et juridique, toute cette mascarade médiatique est une falsification du droit international.

1- La Judée-Samarie est la région historique de la Nation Juive. Il n’y a jamais eu d’état de Palestine dans cette région qui ne soit pas Juif.

2- Quand Israël a retrouvé le contrôle de ces terres en 1967, elle les a non seulement libérées de l’occupation illégale d’une nation belligérante, la Jordanie qui l’avait attaquée mais elle avait agi en application des droits nationaux juifs reconnus par le Mandat Britannique.

La gérance d’Israël de la Judée et la Samarie est donc juridiquement défendable. Malgré les tentatives perfides de l’ONU de rendre illégales les actions d’Israël en votant des résolutions ridicules. De Facto, Israël a les motifs légitimes au regard des principes juridiques reconnus pour soutenir l’annexion de la Judée et la Samarie et l’expansion des soi-disantes « colonies ».

3- La région a été annexée par la Jordanie après la guerre de 1948, mais reconquise par Israël en 1967 lors de la Guerre des Six Jours. Avant la présence des auto-proclamés Palestiniens, peuple qui n’existait pas avant 1967, la région était sous domination jordanienne, après la domination britannique et ottomane. Jamais un « État Palestinien » n’a existé sur cette terre. JA-MAIS.

Conformément au droit international, le vide juridique qui existait pendant les dix-neuf ans à la suite de l’agression hachémite (jordanienne) a été comblé par Israël, pays agressé.

C’est ce que dit le droit international :

« Un pays qui attaque un autre pour s’emparer de son territoire, sans aucun motif valable, ne peut jamais prétendre exercer sa souveraineté sur un territoire acquis à la suite d’une agression. »

De plus, le principe de légitime défense dont bénéficie Israël en droit est consacré conventionnellement par l’art.51 de la Charte des Nations-Unies.

4- La Judée et la Samarie forment le cœur d’Israël. Le mont central, avec Jérusalem au centre, nous rappelle l’héritage du peuple Juif.

C’est ici qu’Abraham a marché avec son fils Isaac.

C’est ici que Jacob a bâti sa tente et c’est d’ici que les ancêtres du peuple Juif ont chassé les peuples de Canaan sous Joshua fils de Noun.

Dans les montagnes de Judée et de Samarie se trouvent des dizaines de sites sacrés qui sont d’une signification historique importante pour le peuple Juif.

Pendant dix-neuf ans, la Jordanie a occupé illégalement ces territoires, et les sites juifs ont été désacralisés, le droit d’accès aux lieux de prière refusé aux juifs.

Qui a protesté ? Où étaient les indignés ?

Cela fait plus de 40 ans que ces territoires sont redevenus sous souveraineté israélienne, et il n’y a aucune raison pour qu’ils ne soient pas annexés officiellement par l’Etat d’Israël.

L’origine ancienne de ces terres est mise en évidence par les preuves incontestables des lieux saints juifs comme le Tombeau de Joseph à Naplouse, la grotte des Patriarches à Hébron, et Ramat Rachel près de Bethléem.

La Judée et la Samarie sont le berceau des Juges, des rois juifs et des prophètes.

Il n’y a pas de Palestine dans la Bible, et de nombreux chrétiens ont été détournés par la propagande arabe de leurs convictions, et ont fini par croire que la Judée et la Samarie sont palestiniennes.

5- Le 29 novembre 1947, les arabes refusent l’application de la résolution 181 des Nations Unies qui stipulait la partition de la Palestine en deux Etats, l’un arabe et l’autre Juif.

Ce refus a mis fin à tout fondement juridique de la résolution 181 des Nations Unies qui, de toutes façons, n’avait aucune force de loi, étant votée par l’Assemblée Générale des Nations unis et non par son conseil de sécurité.

A partir de cette situation, nous sommes en présence d’un pays qui juridiquement n’a plus aucun souverain dès le moment où l’Angleterre remet son mandat aux Nations Unies, qui votent une résolution rejetée par les arabes. Il y a un vide juridique quant à la souveraineté sur les territoires de Judée et Samarie.

6- En plus des liens historiques de la Judée et la Samarie avec le peuple Juif, la revendication d’Israël sur ces terres est conforme à la Convention de San Remo de 1920.

La participation des 51 membres de la Ligue des Nations, incluant la Grande-Bretagne, les États-Unis, le Canada et l’Europe, a confirmé l’accord Balfour donnant toute la terre à l’ouest du Jourdain au peuple juif. L’importance de cette convention est telle – il s’agit d’un traité international – qu’aucune résolution des Nations Unies ne peut la supplanter ou la changer !

Lorsque les médias et les associations pro palestiniennes nous bassinent à chaque occasion que la Judée, la Samarie, et l’est de Jérusalem sont des territoires occupés et qu’il y réside des colons ou des intrus, c’est qu’il y a de leur part un manque de connaissance sur la convention de San Remo, et une volonté vicieuse de délégitimer Israël. Il serait plus honnête de dire que ce sont des territoires disputés. Mais l’honnêteté n’est pas toujours au programme des médias.

7- L’alternative d’une souveraineté israélienne est la cession de la Judée et de la Samarie à une souveraineté palestinienne ou arabe.

Un tel plan serait une catastrophe stratégique sur le plan sécuritaire.

Dans une telle situation, Israël deviendrait otage perpétuel du terrorisme palestinien.

Une souveraineté palestinienne serait aussi une menace pour la Jordanie – qui s’y oppose d’ailleurs fermement sans qu’aucun média ne le mentionne jamais, et les pays arabes modérés. Elle deviendrait rapidement l’arrière-cour du Hamas et du fondamentalisme islamique.

Pour assurer sa propre survie et sa sécurité, Israël a besoin de frontières sûres défendables. Un pays large de 15km est impossible à défendre. C’est la raison stratégique pour laquelle les Juifs doivent rester et se développer chez eux en Judée et en Samarie.

8- La Jordanie est un Etat arabe palestinien, implanté sur plus de 80 % de la Palestine mandataire censée constituer le foyer national juif. Elle est, par ailleurs, essentiellement peuplée d’Arabes de Palestine.

Dès lors que la Palestine mandataire était censée être le lieu de création du foyer national juif, on doit rappeler qu’un partage a été effectué en 1923, au détriment de la population juive, la Transjordanie étant, ethniquement, pure de toute présence juive.

Un Etat palestinien a donc été créé en Palestine sur les terres perdues par l’Empire ottoman : la Jordanie, qui devrait s’appeler Royaume palestinien de Jordanie. Rien ne justifie la création d’un deuxième ou d’un troisième Etat palestinien si l’on compte la bande de Gaza, alors qu’il n’existe pas de peuple palestinien, sinon par fabrication idéologique destinée à détruire Israël, et à créer un 23eme Etat arabe à la place d’Israël.

9- Le démantèlement des camps de réfugiés faisant partie du processus de replacement, diminuera la population arabe en Judée et en Samarie ainsi que la pauvreté et la densité dans les villes.

La population arabe qui continuera à habiter dans les nouvelles frontières de l’état d’Israël, bénéficiera des droits de citoyens offerts par l’état d’Israël, mais sera de nationalité Jordano-palestinienne, exécutant ses droits politiques à Aman.

10- Depuis la guerre des six jours de 1967, les Nations Unies, les médias et politiciens proclament constamment qu’Israël occupe illégalement la « Cisjordanie », un territoire qu’ils ont gagné durant la guerre de 1948 et conservé jusqu’en 1967. Cependant, le droit international énonce clairement que ce qui est gagné en se défendant contre une agression externe peut légitimement être considéré comme un butin de guerre. L’appellation Cisjordanie est apparue après 1948 et s’emploie à « gommer » le nom juif et historique de la région. C’est du révisionnisme.

La Résolution 242 du Conseil de sécurité n’exige pas d’Israël de céder la Judée et la Samarie, bien que souvent invoquée par les dictatures islamiques et associations pro-palestiniennes pour exiger d’Israël qu’il se retire, et accepte des frontières sur la base des lignes d’armistice de 1949. De plus, le « peuple Palestinien » n’est pas concerné par la résolution 242 qui a été signée entre la Jordanie et Israël : ils n’existaient pas encore.

Plusieurs diplomates anglo-saxons (Arthur Goldberg et Eugene Rostow), protagonistes de la rédaction de cette résolution, ont déclaré qu’Israël n’était pas tenu d’évacuer l’ensemble des territoires occupés.

La Résolution 242 reconnaît expressément qu’Israël a été attaquée par la Jordanie, l’Egypte et la Syrie en 1967, et invite les parties de ce conflit à négocier « une paix juste et durable fondée sur des frontières sûres et reconnues. »

– Le traité de San Remo indique clairement qu’Israël possède un droit légitime de posséder un territoire pour sa population dans les limites établies par cette convention.

Israël, avec la Judée et la Samarie incluses, a été la terre des Juifs depuis des temps immémoriaux. Judée signifie terre des Juifs, et c’est pour cela que les médias emploient un terme, Cisjordanie, qui n’a servi que pendant 19 ans et rappelle l’invasion et l’occupation jordanienne.

Jamais, dans toute l’histoire de l’humanité, aucun autre état autonome non juif n’a été établie sur cette terre. La diaspora juive, qui a débuté après leur défaite contre les Romains en l’an 70, n’a pas entraîné le départ de tous les Juifs.

Des Juifs ont vécu dans la vallée du Jourdain pendant des dizaines de siècles jusqu’à ce que les envahisseurs arabes les en aient chassés en 1948, lorsque les provinces de la Judée et la Samarie ont été occupées par le Royaume hachémite de Transjordanie, qui a abrégé son nom en Jordanie en 1950.

Les ennemis idéologiques d’Israël veulent l’effacer en tant que nation. Ils nient simplement à l’Etat Juif le droit d’exister et de vivre dans la paix, la dignité et la liberté.

Les pays européens ont bien compris la supercherie de ceux qui s’appellent maintenant les Palestiniens.

Comme toujours, Israël ne peut compter que sur elle-même pour trouver une solution qui fait sens juridique, historique et moral, qui assure sa sécurité et la continuité d’un Etat démocratique juif.

© Jean Vercors

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