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Les jeunes hommes des fraternités se révoltent contre les gauchistes antisémites des campus / Les intellos des années 80 étaient, eux, des rebelles courageux.

By 7 mai 2024ABSURDISTAN
PUBLIÉ PAR MAGALI MARC LE 7 MAI 2024

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit la chronique de Kurt Schlichter, parue sur le site de Townhall, le 6 mai.

Ce sont les intellos (communistes) qui sont les méchants dans ce film

Pour ceux d’entre nous qui ont grandi dans la plus belle des décennies, les années 80, c’est une pilule amère à avaler que de réaliser que des films comme “Revenge of the Nerds” (“La revanche des tronches“) ont poussé le mensonge selon lequel les membres des fraternités sont les éternels méchants.

Sur les campus universitaires d’aujourd’hui, les intellos paumés sont une collection communiste de gens bizarres, de perdants et de mutants qui pleurnichent sur la “Palestine”, se plaignent que les flics sont méchants avec eux parce qu’ils ont enfreint la loi et hurlent qu’ils sont littéralement assassinés par des gens qui ne respectent pas leur myriade d’allergies alimentaires.

Les intellos des années 80 étaient des rebelles courageux.

Ceux d’aujourd’hui sont des conformistes pathétiques – ils se ressemblent tous, ils ont tous la même voix et ils ont tous la même odeur.

Ce ne sont pas des gens amusants. (…)

Ce sont des intellos poubelles, des cocos gâtés avec des masques stupides, des piercings stupides et des chevelures affreuses.

Aujourd’hui, les héros qui se battent sur les campus sont qualifiés de “frat boys”, qu’ils fassent partie d’une fraternité ou non, mais ce qu’ils sont vraiment, c’est une bande de mecs normaux.

C’est évident au premier coup d’œil. Ce sont pour la plupart (mais pas tous) des hommes blancs hétérosexuels, en forme, bien habillés et dépourvus de masques stupides et de piercings stupides.

Ils boivent de la bière Coors Light au lieu d’avaler des antidepressants.

Ils protègent le drapeau américain et le brandissent fièrement. Et ils se moquent des gauchistes.

Ils se fichent éperdument de la gentillesse des intellos communistes.

Ils sont rudes et insensibles, cruels et hilarants. Lorsqu’une gigantesque coco s’est approchée en se dandinant et en agitant son doigt grassouillet, ils se sont moqués d’elle. C’était hilarant et cathartique. C’était libérateur.

Bien sûr, c’était parfois odieux. Certains gestes étaient de mauvais goût. Certains d’entre eux ont été traités de racistes, mais le fait est que ces garçons blancs seront traités de racistes quoi qu’il arrive.

Ils l’ont été toute leur vie, alors je doute qu’ils se soucient d’une épithète de plus.

Les jeunes hommes normaux d’Amérique en ont assez.

Ils ont grandi dans des établissements d’enseignement dominés par des femmes communistes qui les méprisaient.

Ils ont toujours été détestés en raison de la race de la majorité d’entre eux – la révolte des hommes normaux est multiethnique – et ils ont toujours été détestés en raison de leur sexe et de leur dévotion inconditionnelle au cisgenre.

On leur dit qu’ils sont le problème et que leur oppression est la solution.

Leur simple existence est considérée comme la preuve d’une dévotion à la “suprématie blanche”. Leur héritage est la preuve de leur faillite morale, un péché originel qu’ils ne pourront jamais effacer.

Ils sont les oppresseurs, même s’il n’y a personne de plus opprimé sur un campus universitaire qu’un membre d’une fraternité, pris pour cible par une administration qui le déteste, soumis à un système judiciaire à double voie qui le démolit s’il est pris en train de boire une bière légère de type Dos Equis en cachette, mais un système qui lèche le cul collectif des partisans de la terreur communiste qui se sont emparés d’une grande partie des campus.

Les types normaux sont les méchants désignés, par la gauche et Hollywood également, et le reste d’entre nous est censé les haïr. Mais ils ne sont plus détestés maintenant.

Ils sont aimés par les gens normaux du monde entier parce que ce sont eux qui se défendent. Ils refusent de céder le terrain moral à ces abrutis prétentieux.

Ils n’ont que du mépris pour la classe dirigeante gauchiste, et ils n’ont rien à perdre. Pendant toute leur vie, on leur a dit qu’ils étaient les poids lourds de notre scénario culturel, et ils en ont assez.

Ce n’est que le début de leur riposte.

Elle sera impolie. Elle sera méchante. Elle manquera de décorum. Mais bon, ne sont-ce pas là les nouvelles règles, pour les psychopathes qui ont adopté le Hamas ?

Comme je l’ai déjà dit à maintes reprises, faites attention aux nouvelles règles que vous édictez.

Les communistes voulaient mettre en place une nouvelle règle selon laquelle vous pouvez être ouvertement détesté en raison de votre race et méprisé en raison de vos caractéristiques immuables. Ils voulaient une nouvelle règle autorisant l’exercice brutal du pouvoir contre leurs opposants.

Eh bien, bienvenue aux nouvelles règles ! J’espère qu’elles vont leur faire mal.

Les statistiques sont éloquentes : les jeunes hommes en ont assez de ces conneries et se tournent vers la droite.

Certains d’entre eux se sont retirés de la société, se réfugiant dans la fumée du cannabis et les jeux vidéo pour échapper à une vie d’adulte où ils voient que tout leur est interdit. Si c’est un privilège, vous pouvez le garder.

Le seul privilège qu’ils ont, c’est de payer des impôts, de mourir dans des guerres stupides et de subir les conneries de médiocres communistes.

Mais d’autres se battent. Et c’est glorieux.

C’est la masculinité toxique libérée, et plus elle est toxique, mieux c’est.

Les femmes dominent le Kampus actuel de Krusade Kommunism, car l’activisme gauchiste est en grande partie une réaction des femmes peu attirantes au fait que les hommes normaux ne veulent pas d’elles.

Il est pratiquement impossible de distinguer leurs camarades masculins cocos de ceux qui s’identifient comme femmes.

Ces trolls des campus incarnent la version radicale de l’ambiance féministe que l’on retrouve dans la plupart des institutions de la société américaine.

Nos établissements d’enseignement sont féminisés de la maternelle à l’université.

Les garçons sont sauvages, turbulents et pleins d’énergie, mais nous voyons les enseignants les réprimer, leur faire honte, exiger qu’ils restent assis et supprimer les récréations et l’éducation physique – des activités dont les garçons ont besoin et dans lesquelles ils s’épanouissent.

Les femmes gauchistes qui leur enseignent les bombardent d’idées bizarres sur le genre. Il reste peu de modèles masculins dans les écoles.

Le type de professeur d’atelier, ancien membre des Marines, et d’instructeur d’éducation physique qui a débarqué à Guadalcanal, avec lequel nous, les baby-boomers et les X, avons grandi, a disparu.

Les instructeurs masculins d’aujourd’hui sont tout sauf traditionnels – encore une fois, vous avez les masques stupides, les piercings stupides et les problèmes de cheveux stupides.

On ne peut pas apprendre aux garçons à devenir des hommes si on n’est pas soi-même un homme. Et il ne s’agit là que de ceux qui ne sont pas carrément des pervers.

Non, ces garçons ont grandi dans un milieu créé et dominé par les femmes, et il s’agit d’une rébellion masculine qui n’a que trop tardé.

Ils disent “non”, et ils le disent haut et fort, en proférant des injures.

Dans les vidéos des affrontements sur les campus, on peut voir que les communistes ne savent pas comment réagir face à ces jeunes hommes.

Ils n’ont jamais vu quelqu’un s’en prendre à eux auparavant.

On ne leur a jamais dit qu’ils étaient inutiles, qu’ils étaient des déchets, qu’ils ne valaient rien – ce qui est vrai.

Mais c’est ce qui est arrivé aux membres des fraternités tout au long de leur vie – et c’était un mensonge. Ils ne sont pas les méchants. Le paradigme des films des années 80 a changé. Ces intellos étaient juste des gens cool qui essayaient de s’entendre.

Les “nerds”d’aujourd’hui essaient d’aider les gens qui veulent tuer tous les Juifs en Israël. Ce n’est pas mignon et ce n’est pas drôle.

Heureusement que les membres des fraternités connaissent leurs ennemis et que leur masculinité n’a pas été supprimée au point qu’ils aient oublié leur désir instinctif de les démolir.

C’est ce que font les hommes. Les ordures communistes feraient mieux d’espérer que cela reste au niveau des insultes lancées à travers les lignes de flics.

Les cocos puants des campus de 2024 n’auront aucune chance lorsque les ogres d’aujourd’hui lanceront leur cri de guerre, “espèce d’intello coincé !”.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : Townhall

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