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L’IDENTITE DU JUIF MESSIANIQUE (Lu sur Le Berger d’Israël)

By 27 février 2015Etz Be Tzion

 

Guy ATHIA

Dans l’histoire du peuple d’Israël, ancienne ou contemporaine, il n’est pas difficile de se rendre compte que ce qui caractérise le peuple juif, comme du reste les Juifs messianiques, c’est cette disposition à discuter de tout, à palabrer de longs moments sur de nombreux sujets. Chacun croit avoir raison plus que l’autre et trouve des arguments plus pertinents que son voisin. C’est ainsi que se multiplient les opinions et les partis en tout genre. Chez les Juifs messianiques, d’où viennent donc toutes ces discussions de mots, d’interprétations des textes bibliques, etc. ?… Pour de nombreux Juifs messianiques, les choix essentiels tournent autour de la pratique de tel ou tel rite ou alors d’un démarquage radical par rapport à la synagogue traditionnelle. D’autres veulent surtout éviter l’amalgame avec les « chrétiens » rendus responsables de tous les maux du peuple juif depuis des siècles. Certains redoutent de perdre leur identité de Juif s’ils ne suivent pas scrupuleusement les rites et traditions orthodoxes.

Qu’en est-il vraiment ?… L’identité du Juif messianique repose-t-elle fondamentalement sur l’observation plus ou moins rigoureuse de telle ou telle loi biblique ou non ?… La défense d’une identité personnelle est-elle plus importante que l’affirmation de l’identité du Messie lui-même ?… Quelle est donc la racine de notre identité ?… Comment aller plus loin encore et permettre à de nombreux Juifs messianiques de vivre une foi équilibrée, mûrement construite, forgée par l’Esprit Saint ?…

La maturité d’un homme prend du temps ; dans certains domaines des décennies. Celui qui est jeune dans la foi a besoin de grandir dans un cadre édifiant au milieu de frères et de sœurs qui contribuent à son développement spirituel. Comment donc mettre en place les moyens nécessaires à ce que chacun puisse grandir vers une « maturité spirituelle », une stature « d’adulte dans la foi » ?…

Il n’y a rien de nouveau sous le soleil…

Cette parole célèbre du roi Chlomo (Salomon), fils de David, s’applique bien à la situation des Juifs en général, et des Juifs messianiques en particulier. Depuis toujours, l’attention se porte d’abord aux formes de la piété plutôt qu’aux motifs de son expression. Le Seigneur ne dénonce-t-il pas, par la bouche du prophète Esaïe, une adoration formelle du bout des lèvres tandis que le cœur est éloigné de la foi [Esaïe 58 sur le jeûne etc.] ?… Combien d’hommes et de femmes, chez les Juifs, comme du reste chez les chrétiens, attachent une importance excessive au rituel « extérieur », aux formes, et en oublient ce qui devrait être au cœur de leur pensée. La Loi énonce elle-même le besoin de motiver dans son cœur l’obéissance aux commandements. La circoncision dans la chair ne sert de rien si elle n’a pas eu lieu aussi dans le cœur, comme nous le rappelle le Lévitique : 26:41 : « Moi aussi je leur résisterai et les mènerai dans le pays de leurs ennemis. Alors leur cœur incirconcis s’humiliera, et ils paieront la dette de leur faute. » (voir aussi Ezéchiel 44.9 et de nombreux passages dans la Brith Hadacha – Nouveau Testament).

En effet, nous pouvons lire en Deutéronome les paroles suivantes « Maintenant, Israël, que demande de toi l’Éternel, ton Dieu, si ce n’est que tu craignes l’Éternel, ton Dieu, afin de marcher dans toutes ses voies, d’aimer et de servir l’Éternel, ton Dieu, de tout ton cœur et de toute ton âme. » (Deut. 10 :12). D’autres passages parlent dans le même sens (Lév. 19.17, Deut. 4.9, 5.29, 15.7-10 ; etc.).

En conséquence, pour le croyant, le « fondement » de sa piété est plus important que la forme de sa piété. Ce qui est essentiel prime sur ce qui est secondaire. L’attention sur ce qui nous unit est plus importante que le regard sur ce qui nous divise. Et dans ce domaine, il n’est pas facile de faire la part des choses. Les premiers croyants en Yéchoua’ (Jésus) n’étaient pas à l’abri de ce débat. Toutefois, leurs conclusions ont pour nous valeur d’exemple.

Ce que nous croyons essentiel…

Yéchoua’, notre Messie, est bien sûr celui qui est au cœur de notre foi. Son enseignement et sa vie sont à la base de notre vie. Nous croyons fermement qu’il est le Messie envoyé par Dieu, à la fois « pleinement Homme » (de nature pleinement humaine) et « pleinement Dieu » (c’est-à-dire de nature divine), qu’il est celui annoncé par les prophètes, qu’il est « l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du Monde ».

Nous affirmons, selon l’Ecriture, qu’il est mort à Jérusalem sur le bois pour nos péchés ; qu’il a expié nos fautes ; qu’il s’est chargé de nos maladies et de notre culpabilité (Esaïe 53) ; qu’il a pris sur Lui le jugement qui nous était destiné. Il est venu une première fois, vivant comme Juif parmi ses frères Juifs. Il a pratiqué la Loi, mais non pas comme ses contemporains qui pour plusieurs avaient détourné la Loi à leur profit, mais avec un cœur juste au service de la gloire du Père. Nous disons avec foi qu’il reviendra avec gloire et puissance (non comme la première fois) pour juger les vivants et les morts et pour établir son règne.

Pour nous qui avons cru en Lui, nous sommes assurés de régner avec Lui selon ses promesses. Si nous croyons ces choses et les proclamons sans réserve, nous sommes donc d’accord sur l’essentiel. Réjouissons-nous alors de pouvoir partager la coupe de joie que le Seigneur nous tend. Les disciples de Yéchoua’, dans le livre des Actes, comme dans les épîtres, n’ont pas, semble-t-il, fait mention d’éléments précis supplémentaires essentiels à notre Salut. Au contraire, les débats sur la circoncision ou l’observance de rituels particuliers aboutissent à beaucoup de liberté dans ces domaines pour les croyants non Juifs. Pour les croyants Juifs, il n’est fait mention d’aucune consigne particulière au sujet des rituels, des coutumes ou de l’observation de la Loi. Cependant, en ce qui les concerne, le principal danger dénoncé est de placer le rituel, les coutumes ou les traditions comme moyen « essentiel » pour accéder auprès du Père. Certains souhaitaient même l’imposer aux croyants non Juifs. Les choses n’ont guère changé aujourd’hui dans la plupart des religions.

Plutôt juif,… plutôt messianique… ?

L’identité du Juif messianique est donc fondamentalement attachée au Messie Yéchoua’ (Jésus) et à son œuvre. « Être Juif » ne dépend pas d’une pratique plus ou moins rigoureuse de rites ou de lois dictées par la bouche des hommes. Le caractère Juif de l’individu ne dépend de rien d’autre que de ses ascendants (n’en déplaise à certains). L’histoire nous montre malheureusement à travers les siècles que la persécution des Juifs a touché même ceux qui avaient « oublié » qu’ils étaient Juifs et qui étaient loin de connaître rites et coutumes traditionnels. De ce point de vue, être Juif n’est certainement pas un privilège. Un récent sondage (en 2000 ?) en France indiquait que 21% des français estiment qu’il y a encore « trop » de Juifs en France. Je n’évoquerais pas ici le regain d’antisémitisme en Europe et en France en particulier. Humainement parlant, « être Juif » n’est certainement pas un avantage.

Par ailleurs, il n’y a pas de Juif qui puisse perdre sa judéité de quelque façon que ce soit. Un fils perd-il son statut de fils parce qu’il se détourne de son père ?… L’histoire du « fils prodigue » dans l’Evangile affirme au contraire le caractère inaliénable des relations entre parents. Israël reste un « fils » pour Dieu, même si celui-ci s’est souvent rebellé. A la fin du 19ième siècle, un responsable juif, dans son enthousiasme et surtout son exaspération face à l’antisémitisme croissant suggérait d’aller proposer au pape de l’époque que tous les Juifs se convertissent au catholicisme contre un arrêt de la haine contre les Juifs. On lui répondit que cela ne changerait sans doute pas grand chose. Il y aurait peut-être un peu plus de catholiques dans le monde, mais il n’y aurait pas moins de Juifs. On ne peut renier ses origines ou son sang.

Les règles de la Hala’ha (loi rabbinique), tout comme les déclarations « chrétiennes » depuis des siècles, affirment avec force que le Juif qui accepte Jésus n’est plus Juif. Nous ne partageons pas ce point de vue qui n’a fait qu’accentuer le clivage entre Juifs et Chrétiens et empêcher nombre de Juifs de recevoir Yéchoua’ comme le Messie d’Israël. « Être messianique », si je peux me permettre cette expression, est en revanche la traduction d’une adhésion à Yéchoua’, une déclaration de foi dans le Messie Sauveur et Seigneur. Dans ce cas, il est évident que tous les hommes, Juifs comme non Juifs, peuvent prétendre à cette foi en Yéchoua’. « Être messianique » ne s’oppose pas à « Être Juif », ni inversement. Il est regrettable que dans l’esprit de bien des Juifs et de bien des chrétiens, ces expressions soient inconciliables. Pourtant, historiquement et théologiquement, il n’y a rien de plus vrai que d’associer « le Juif » à « son Messie ». « Être juif messianique » désigne donc les Juifs qui ont reconnu en Yéchoua’ leur Messie. N’y ajoutons rien ! Ce qu’on pourrait y ajouter n’a rien à voir avec une définition identitaire.

L’esprit est bien disposé, mais la chair est faible…

Quand on parle de l’identité du Juif messianique, il n’est pas facile de rester simple. Nous avons tendance à juger de l’identité des individus aux apparences, au folklore, aux émotions exprimées ou non, aux pratiques plus ou moins observées, etc. Ce qui frappe les yeux est souvent ce qui retient notre attention et marque notre esprit. Pourtant… La foi en Yéchoua’ peut revêtir bien des formes différentes de piété, avec et sans coutumes et traditions juives. Qui sommes-nous pour juger de la pertinence de ceci ou de cela ?… Les uns estiment qu’il faut observer le Chabbat, d’autres non [Note d’Etzbetzion : en ce qui nous concerne, nous estimons que le Shabbat est le 4ème commandement et que, comme le dit Yeshoua, dans Matthieu 5.18 “Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iod ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé”, donc le Shabbat est un commandement de YHWH toujours vivant et sera d’ailleurs fêté dans le Millenium par tous ceux qui monteront à Jérusalem, selon Esaïe 66.23 “A chaque nouvelle lune et à chaque shabbat, Toute chair viendra se prosterner devant moi, dit l’Éternel”.] . Certains s’abstiennent de manger certains aliments, d’autres mangent de tout sans se poser de questions. Les uns portent une Kippa, d’autres s’en passent totalement. Les uns auraient-ils raison et les autres torts ?… La spiritualité des uns ou des autres peut-elle se mesurer au degré de « rigueur » dans l’observation de coutumes, traditions ou rites ?… Ne suis-je pas tenté de juger moi-même de ce qui est juste pour les autres ?…

Que dit le Seigneur sur toutes ces choses ?… En fait, il ne se proclame pas juge pour arbitrer sur toutes ces questions. L’essentiel n’est pas là. L’apôtre Paul reprend cependant quelques principes importants énoncés par le Seigneur. (Romains 14)

• Il ne juge personne, ni ceux qui s’imposent des règles particulières, ni ceux qui s’en affranchissent. Il invite ses lecteurs à en faire de même. Paul était lui-même un homme qui savait en toutes circonstances avoir les bonnes attitudes.

• Être animé d’une profonde conviction. Dans le chapitre 14 de l’épître aux Romains, Paul dénonce les jugements entre frères sur ces questions de vie courante et de rapports entre rituels juifs et liberté évangélique. Ce qui importe c’est la conviction que ce que nous faisons ou vivons est une bonne chose pour « nous ». En faire une « règle » pour les autres, c’est déjà porter un jugement, « ouvertement » ou dans le secret de son cœur.

• Ne pas être une « pierre d’achoppement » pour les autres (et pour les frères en particulier). Voilà une règle essentielle qui doit nous conduire à la fois dans une réelle liberté et en même temps nous amener à restreindre quelques fois notre « liberté » pour ne pas heurter la sensibilité de l’un ou de l’autre. Le plus difficile est bien souvent de faire la part des choses entre « ma liberté personnelle » et la nécessité de ne pas être une « pierre d’achoppement » pour les autres. Que Dieu nous conduise avec sagesse sur ce chemin.

C’est l’amour qui est le lien le plus fort…

L’exhortation de Yéchoua’ est très simple. Faire passer nos motivations au tamis de l’amour fraternel. Il en resterait parfois bien peu de choses. Que le Seigneur nous pardonne tous ces écarts de langage et ces jugements précipités pour cataloguer les frères et les sœurs qui ne vivent pas leur foi comme nous.

Que dire en conclusion ?…

Il n’y a qu’une Loi qui prévaut et qui régit à elle seule tous nos rapports mutuels. « Aime ton prochain comme toi-même ». Si ma piété personnelle me conduit à m’en écarter un seul instant, je rate le but. Il existe diverses formes d’expressions de la foi en Yéchoua’. Chez les Juifs comme chez les chrétiens. Pourtant, il n’y a qu’UN SEUL Messie et qu’UN SEUL Chemin pour être sauvé. Ne jugeons pas les autres sur les apparences, même sur ces « points de détails » qui nous divisent si facilement. Sachons au contraire mettre en valeur ce qui est « essentiel » et qui nous unit. Les Juifs messianiques semblent animés parfois d’une gêne quand à leur identité. Certains craignent de la perdre en affirmant leur « affiliation » au Messie Yéchoua’. La défense de LEUR identité – notamment à travers rites et coutumes – devient un objectif majeur. N’est-il pas plus essentiel de rechercher à affirmer L’IDENTITE du Messie Yéchoua’ ?… C’est de LUI dont nous devons parler, plus que de nous-mêmes, sans pour autant que cela s’oppose en soi à « l’expression juive » de la foi personnelle. La question que Yéchoua’ pose à ses disciples (qu’ils soient Juifs ou non Juifs) nous est posée également : « Qui dites-vous que JE SUIS ?… ». De la réponse que nous donnons à cette question dépend notre identité.

Guy ATHIA

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  • Yerouchalaim dit :

    T E M P S D E L A F I N

    Voici, j’en veux aux pasteurs, et je réclamerai mes brebis de leur main ; je les ferai cesser de paître le troupeau, et les pasteurs ne se paîtront plus eux–mêmes ; et je délivrerai mes brebis de leur bouche, et ils ne les dévoreront plus. Et je les ferai sortir d’entre les peuples, et je les rassemblerai des pays, et les amènerai dans leur terre ; et je les paîtrai sur les montagnes d’Israël, auprès des ruisseaux et dans toutes les habitations du pays. (Ezékiel chap. 34, versets 10, 13)

    Et je vis une autre bête montant de la terre ; et elle avait deux cornes * semblables à un agneau ; et elle parlait comme un dragon. (Apocalypse 13 v. 11 ) Et tous ceux qui habitent sur la terre, dont le nom n’a pas été écrit, dès la fondation du monde, dans le livre de vie de l’Agneau immolé, lui rendront hommage. Révélation = Apocalypse, ch. 13, v. 8) * puissances

    Je regardai cette corne faire la guerre aux saints et l’emporter sur eux, jusqu’à ce que vienne l’Ancien des jours pour rendre
    justice aux saints du Très–Haut ; et le temps arriva où les saints furent en possession du royaume.
    Il prononcera des paroles contre le Très–Haut, il opprimera les saints du Très–Haut, il espérera changer les temps et la loi, et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps et la moitié d’un temps.
    Puis viendra le jugement, et on lui ôtera sa domination, qui sera détruite et perdue pour jamais.
    Le royaume, la domination et la grandeur de tous les royaumes qui sont sous le ciel seront donnés au peuple des saints du
    Très–Haut. Son royaume est un royaume éternel, et tous les dominateurs le serviront et lui obéiront.
    (Daniel ch. 7, v. 21, 22, 25, 26, 27)

    Et, au temps de la fin, le roi du midi (islam ?) heurtera contre lui, et le roi du nord fondra sur lui comme une tempête, avec des
    chars et des cavaliers, et avec beaucoup de navires, et entrera dans les pays et inondera et passera outre ; Il dressera les tentes
    de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne Puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide.
    (Daniel 11, v. 40, 45)

    Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel : Voici, j’en veux à toi, Gog, Prince de Rosch, (Russes) de Méschec (Moscou) et de Tubal (Tobolsk) ! Je t’entraînerai, je te conduirai, Je te ferai monter des extrémités du Nord, Et je t’amènerai sur les montagnes d’Israël. Tu tomberas sur les montagnes d’Israël, Toi et toutes tes troupes, Et les peuples qui seront avec toi ; Tu tomberas sur la face de la terre, Car j’ai parlé, dit le Seigneur, l’Eternel. Je ferai connaître mon saint nom au milieu de mon peuple d’Israël, Et je ne laisserai plus profaner mon saint nom ; Et les nations sauront que je suis l’Eternel, Le Saint en Israël. Voici, ces choses viennent, elles arrivent, Dit le Seigneur, l’Eternel ; C’est le jour dont j’ai parlé. (Ezékiel 39, v 1, 2, 4, 5, 7, 8)

    Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel : Oui, dans le feu de ma jalousie, Je parle contre les autres nations et
    contre Edom * tout entier, qui se sont donné mon pays en propriété, Avec toute la joie de leur cœur et le
    mépris de leur âme, afin de le piller. (Ezéchiel 36, v. 5) * Edom = Occident

    Et il arrivera, en ce jour–là, que je ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples, tous ceux qui la soulèveront
    s’y meurtriront certainement ; et toutes les nations de la terre seront rassemblées contre elle. (Zacharie 12 v. 3)

    Ainsi parle l’Éternel des armées : Je suis jaloux pour Sion d’une grande jalousie, je suis saisi pour elle d’une grande et brûlante ardeur. Ainsi parle l’Éternel : Je retourne à Sion et je demeurerai au milieu de Jérusalem. Jérusalem sera appelée ville de la vérité, et la montagne de l’Éternel des armées, montagne de la sainteté. (Zacharie 8, v 2, 3)
    Et l’Eternel possédera Juda comme sa part sur la terre sainte, et il choisira encore Jérusalem. Que toute chair fasse silence devant l’Eternel, car il s’est réveillé de sa demeure sainte. (Zacharie 2, v. 12, 13)

    Ho ! Echappe–toi, Sion, toi qui habites chez la fille de Babylone ! (Zacharie 2, v. 7)

    Fuyez de Babylone, et que chacun sauve sa vie, De peur que vous ne périssiez dans sa ruine ! Car c’est un temps de vengeance pour l’Eternel ; Il va lui rendre selon ses œuvres. (Jérémie 51 v. 6)

    Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité ! Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux. (Révélation, ch. 14 v .8 et ch. 18, v. 4)

    Ainsi parle l’Éternel des armées : En ces jours–là, dix hommes de toutes les langues des nations saisiront un Juif, ils le saisiront par le pan de son vêtement et diront : Nous irons avec vous, car nous avons appris que Dieu est avec vous. (Zacharie 8, v. 23)

    Il arrivera, à la fin des temps, Que la montagne de la Maison de l’Éternel Sera fondée sur le sommet des montagnes.
    Des peuples nombreux s’y rendront et diront : Venez, et montons à la montagne de l’Éternel, A la Maison
    du Dieu de Jacob, Afin qu’il nous instruise de ses voies, Et que nous marchions dans ses sentiers. Car de
    Sion sortira la loi, Et de Jérusalem la parole de l’Éternel. (Esaïe 2, v. 2, 3)

    Et je vis, et voici l’Agneau se tenant sur la montagne de Sion, et avec lui cent quarante–quatre mille personnes, ayant son nom et le nom de son Père écrits sur leurs fronts. (Révélation 14 v. 1)

    Voici : je viens bientôt. Heureux celui qui garde les paroles de la prophétie de ce livre ! (Révélation 22, v.7)

    12tr@orange.fr

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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