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Parasha de la semaine : Emor אמֱרֹ – Avec autorisation de Soucat David

By 1 mai 2015Doctrine

אמֱרֹ
Emor

Lévitique 21:1-24-fin : Les prêtres, les sacrifices, les fêtes
Haphtara : Ezéchiel 44:15-31
Et l’Eternel dit à Moshé, Parle, emor, אמֱרֹ aux sacrificateurs, fils
d’Aaron, et dis–leur… Lévitique 21:1
Après les lois de sainteté et le commandement de s’aimer les
uns les autres, D.ieu nous donne des directives concernant les
cohanim et les conditions pour être dignes d’officier en Sa présence.
Il est aussi question du respect des offrandes, du respect des fêtes,
et des convocations saintes. Un parallèle est établi avec le
blasphème de Son Nom. Nous allons étudier en partie ces
instructions.
Cette Paracha s’adresse à tous ceux qui croient avoir été
appelés comme sacrificateurs selon l’ordre de Melki Tsédek par le
sacrifice de l’Agneau, ainsi qu’il est écrit dans Apocalypse 5:9 :
Et ils chantent un cantique nouveau, disant, Tu es digne de
prendre le livre, et d’en ouvrir les sceaux ; car tu as été immolé, et
tu as acheté pour Dieu par ton sang, de toute tribu, et langue, et
peuple, et nation ; et tu les as faits rois et sacrificateurs pour notre
Dieu, et ils régneront sur la terre.
Il était interdit à un Cohen d’avoir un contact avec la mort.
Nous avons vu lors des précédentes études que la mort était
source d’impureté rituelle car elle est la conséquence du péché. La
pensée biblique va à l’opposé de la mort et le contraste est
frappant avec les religions païennes qui vouaient un culte aux
morts et faisaient de grandes cérémonies, de grands tombeaux, et
des veilles incessantes autour d’un mort.
Les serviteurs d’un Pharaon se faisaient enterrer vivants
avec leur maître afin de pouvoir le servir dans l’au-delà. Mais
notre D.ieu ne permet pas à Ses sacrificateurs d’avoir un
quelconque contact avec la mort.
Un prêtre ne doit pas enseigner comment mourir, mais
comment vivre.1
Il ne pouvait assister qu’aux funérailles de son père, sa mère,
frère, soeur encore célibataire, fils ou fille ou sa femme. Le Cohen
Gadol, quant à lui ne pouvait même pas assister aux funérailles de
ses proches parents. En tant que représentant de la nation dans le
Temple, il devait être prêt en tout temps à servir et devait
uniquement se consacrer au service divin.
C’est également à cette fonction que nous avons été appelés
si nous nous éloignons de l’impureté de la mort spirituelle que
donne le péché afin de servir le Prince de la vie :
Et il dit à un autre, Suis–moi ; – et il dit, Seigneur, permets–moi
d’aller premièrement ensevelir mon père. Et Yéchoua lui dit, Laisse
les morts ensevelir leurs morts ; mais toi, va et annonce le royaume
de Dieu. Luc 9:59-60
Ce commandement n’annule en rien le devoir d’honorer ses
parents car :
(Mais) si quelqu’un n’a pas soin des siens et spécialement de ceux
de sa famille, il a renié la foi et il est pire qu’un incrédule.
1Timothée 5:8
Mais il s‘inscrit plutôt dans le cadre d’une obéissance et d’un
dévouement absolus :
Celui qui aime père ou mère plus que moi, n’est pas digne de moi ;
et celui qui aime fils ou fille plus que moi, n’est pas digne de moi
Matthieu 10:37
Un Cohen était également limité dans le choix de son épouse.
Il ne pouvait épouser une femme divorcée, ou une femme
« interdite » c’est-à-dire ayant contracté des alliances interdites. Le
Cohen Gadol quant à lui ne pouvait épouser ni divorcée, ni veuve,
ni prostituée. Seule une jeune vierge de la Maison d’Israël pouvait
convenir.

1 Elie Munk, Vayikra, La voix de la Thora

En profanant sa descendance (21:15) au milieu du peuple, il
affectait la pureté de tout son peuple d’après une interprétation
traditionnelle. Rachi quant à lui nous dit que la descendance
profanée perdait son statut et son droit d’être Cohen.
Le sacrifice devait être sans tâche ni défaut, parfait, D.ieu
étant éminemment saint et digne de respect.
Le Cohen Gadol ne pouvait pas non plus sortir du Temple et
servait en tous temps devant D.ieu Le seul cas d’exception était
celui de la purification de la mort par les cendres de la vache
rousse en Nombres 19 :
Et vous la donnerez à Eléazar, le sacrificateur, et il la mènera hors
du camp, et on l’égorgera devant lui. Nombres 19:3
Et le sacrificateur lavera ses vêtements et lavera sa chair dans
l’eau ; et après, il entrera dans le camp ; et le sacrificateur sera
impur jusqu’au soir. Nombres 19:7
Dans ce cas précis, le Cohen Gadol se rendait lui-même impur
pour purifier un israélite devenu impur au contact d’un cadavre.
Yéchoua, le Grand sacrificateur, n’a pas hésité à sortir du camp
pour porter notre opprobre et nous purifier de la mort spirituelle
causée pas nos péchés. Il a été à la fois le sacrifice parfait et le
Cohen Gadol, accomplissant la Thora entièrement :
C’est pourquoi aussi Yéchoua, afin qu’il sanctifiât le peuple par son
propre sang, a souffert hors de la porte. Hébreux 13:12
Yéchoua lui dit, Ne me touche pas, car je ne suis pas encore monté
vers mon Père ; mais va vers mes frères, et dis–leur, Je monte vers
mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu. Jean 20:17
Ayant donc, frères, une pleine liberté pour entrer dans les lieux
saints par le sang de Yéchoua, par le chemin nouveau et vivant
qu’il nous a consacré à travers le voile, c’est–à–dire sa chair, et
ayant un grand sacrificateur établi sur la maison de Dieu,
approchons–nous avec un coeur vrai, en pleine assurance de foi,
ayant les coeurs par aspersion purifiés d’une mauvaise conscience
et le corps lavé d’eau pure.
Hébreux 10:19-22
Sur la tête du Cohen Gadol reposait le sacre, littéralement
nazir, de l’huile d’onction :
Et il ne sortira pas du sanctuaire, et ne profanera pas le sanctuaire
de son Dieu ; car la consécration de l’huile de l’onction de son
Dieu est sur lui, ki nezer chemen mich’hat eilohav alav,
כִּי נֵזֶר שֶׁמֶ ן מִשְׁחַת אֱלֹהָיו
Moi, je suis l’Eternel. Lévitique 21:12
Encore une fois l’Ecriture nous dessine l’ombre du Machia’h,
le Oint dont le nom est révélé dans le mot Oint : מּשָׁיִח
Ce Cohen ne devait ni laisser pousser ses cheveux ni déchirer
ses vêtements en aucun cas. Le jour où Yéchoua affirma Sa divinité
devant le Cohen Gadol de l’époque, celui-ci déchira
prophétiquement ses vêtements, laissant la place au Grand
Sacrificateur parfait et oint :
Et il garda le silence, et ne répondit rien. Le souverain
sacrificateur, Cohen Gadol l’interrogea encore, et lui dit, Toi, tu es le
Machia’h, le Fils du Béni ? Et Yéchoua dit, Je le suis ; et vous verrez
le fils de l’homme assis à la droite de la puissance, et venant avec
les nuées du ciel (Da 7:13 ; Psaume 110:1) Et le souverain
sacrificateur, ayant déchiré ses vêtements, dit, Qu’avons–nous
encore besoin de témoins ? Marc 14:61-63
Il est maintenant glorifié et veut nous faire paraître devant
D.ieu sans tache ni ride :
…afin qu’il la sanctifiât, en la purifiant par le lavage d’eau par la
parole ; afin que lui se présentât l’assemblée à lui–même,
glorieuse, n’ayant ni tache, ni ride, ni rien de semblable, mais afin
qu’elle fût sainte et irréprochable. Ephésiens 5:26-27
Qui est celle–ci qui apparaît comme l’aurore, belle comme la lune,
pure comme le soleil, redoutable comme des troupes sous leurs
bannières ? Cantique 6:10
Le chapitre 22 nous parle de la sainteté requise de la part des
Cohanim pour manger les offrandes du peuple. Un prêtre impur ne
doit ni manger, ni offrir, ni manger des saintetés. Yéchoua, le Pain
vivant (Jean 6:48) et consacré nous met en garde de la même façon :
Ainsi quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur
indignement sera coupable à l’égard du corps et du sang du
Seigneur. Mais que chacun s’éprouve soi–même, et qu’ainsi il
mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et qui
boit, mange et boit un jugement contre lui–même, ne distinguant
pas le corps. C’est pour cela que plusieurs sont faibles et malades
parmi vous, et qu’un assez grand nombre dorment. 1 Corinthiens
11:27-30
Sur un autre plan, l’avertissement donné aux Cohanim de ne
pas profaner les offrandes du peuple, concerne les offrandes
apportées dans les assemblées et l’usage qui en est fait. Ces
offrandes sont sacrées car elles sont apportées par le peuple. Leur
profanation est très grave :
Et ils garderont ce que j’ai ordonné de garder, afin qu’ils ne
portent pas de péché sur eux, et qu’ils ne meurent pas, pour avoir
profané mon ordonnance. Moi, je suis l’Eternel qui les sanctifie.
Lévitique 22:9
Mais un homme nommé Ananias, avec Sapphira sa femme, vendit
une possession, et, de connivence avec sa femme, mit de côté une
partie du prix, et, en apportant une partie, la mit aux pieds des
apôtres. Mais Pierre dit, Ananias, pourquoi Satan a–t–il rempli ton
coeur, que tu aies menti à l’Esprit Saint et que tu aies mis de côté
une partie du prix de la terre ? Si elle fût restée non vendue, ne te
demeurait–elle pas ? Et vendue, n’était–elle pas en ton pouvoir ?
Comment t’es–tu proposé cette action dans ton coeur ? Tu n’as pas
menti aux hommes, mais à Dieu. Ananias, entendant ces paroles,
tomba et expira. Et une grande crainte s’empara de tous ceux qui
entendirent ces choses. Actes 5:1-5
Quel avertissement !
Il nous est également ordonné de ne pas profaner le Nom de
D.ieu par un comportement criminel afin de ne pas salir Sa
réputation :
Mais un frère entre en procès avec un frère, et cela devant les
incrédules. 1 Corinthiens 6:6
Toi qui te glorifies en la loi, déshonores–tu Dieu par la
transgression de la loi (Thora) ?
Car le nom de Dieu est blasphémé à cause de vous parmi les
nations, comme il est écrit… Romains 2:23-24
Que tous les esclaves qui sont sous le joug estiment leurs propres
maîtres dignes de tout honneur, afin que le nom de Dieu et la
doctrine ne soient pas blasphémés… 1 Timothée 6:1
D.ieu nous a délivrés d’Egypte, physiquement pour certains
et spirituellement pour d’autres afin que nous Le servions et que
nous devenions ces sacrificateurs qui sanctifient Son grand Nom.
Ce verset précède immédiatement le chapitre 23 qui parle des
fêtes : après nous avoir délivrés, D.ieu nous convoque à certaines
époques :
Le Roi veut rencontrer Son épouse !
Ce sont les fêtes, littéralement « temps de rencontre » de
l’Eternel, moadei Adonaï מוֹעֲדֵי יְהוָה ou « appels à la
sainteté », les mikraei kodech, מִקְרָאֵי קדֶֹשׁ
La première (23 :3) de ces saintes convocations : Chabbat,
שַׁבַּת , point de départ pour rappeler la Création et la Sortie
d’Egypte. C’est une convocation personnelle et hebdomadaire au
sein de nos familles avec le Créateur, dans le repos de Sa présence
pour restaurer nos forces et puiser la vie de l’Esprit.
La seconde (23:5) : Pessa’h פֶּסַח l’appel de la délivrance et le
début de la moisson. On offre les prémices de sa récolte à D.ieu
avec le printemps, le renouveau spirituel : un nouveau départ avec
le Rédempteur.
La troisième (23:6) :la fête des Matsot, חַג הַמַּצּוֹת le levain
est ôté de nos coeurs et la communion est rétablie dans l’innocence
retrouvée par le sang de l’Agneau parfait qui ôte le péché du
monde (Jean 1:29).
La quatrième (23:10), la gerbe balancée, le Omer, :עמֶֹר
symbole de la Résurrection et de la sanctification pendant les 7
semaines qui mènent à la réception de la Thora.
La cinquième (23:21), Chavouot, שָּׁבֻעוֹת , la réception de la
Thora, le Rouah’ Hakodech déversé en puissance sur les disciples
pour la révélation de la Thora vivante manifestée en Yéchoua
HaMachia’h!
La sixième (23:24), Zikhron haTrouah, la fête des Trompettes
זִכְרוֹן תְּרוּעָה , le jour solennel d’avertissement, le jour du
jugement au son du chofar. Un temps pour faire le point.
La septième (23:27), Yom haKipourim, le Grand pardon, יוֹם
הַכִּפֻּרִים . Il a tout accompli, tout pardonné, et nous pardonne
encore. Une remise en question et une préparation pour l’année à
venir.
Enfin la huitième, ‘Hag HaSouccot, חַג הַסֻּכּוֹת le retour du
Grand Roi à Jérusalem, toutes les nations sont convoquées pour
célébrer Son règne.
Ces fêtes sont l’ombre du Messie et nous dévoilent une
partie de Lui-même, nous sommes conviés à un rendez-vous avec
le Créateur. Ces convocations prennent alors toute leur importance
à la lumière de Son Esprit et le chapitre 24 enchaîne directement
pour nous parler de l’huile de la Menora qui doit être sans cesse
alimentée.
Cette Menora, image de l’Esprit, était placée en face des
Pains de proposition, littéralement Pains de la face (de D.ieu) et Il
veut nous enseigner que c’est par Son Roua’h seulement que nous
pouvons avoir la révélation de Sa Parole, de Sa Thora symbolisée
par ces pains.
D’un Chabbat à l’autre, Son Esprit nous révèle les merveilles
de cette manne céleste, du Pain de vie, de la Parole (Thora) faite
chair en la personne de Yéchoua.
Le passage qui suit directement les instructions concernant
les fêtes et la Menora, semble incongru à première vue mais nous
savons que rien n’est au hasard dans la Parole et nous allons
étudier ce récit en détail.
Ce passage est à mettre en relation avec celui de la Paracha
où D.ieu demande que Son Nom ne soit pas profané (Lévitique
22:32) :
Et vous ne profanerez, te’halelou, תְחַלְּלוּ pas mon saint nom,
mais je serai sanctifié au milieu des fils d’Israël, moi, je suis
l’Eternel qui vous sanctifie.
Le mot profane en hébreu, h’alel, חלל s’apparente à un corps
mort,
‘halal חָלָל
Quand on trouvera sur la terre que l’Eternel, ton Dieu, te donne
pour la posséder, un homme tué ‘halal, חָלָל étendu dans les
champs. Deutéronome 21:1
Or un corps mort c’est un corps privé de son âme, vide. La
profanation du Nom de D.ieu c’est un vide, l’absence de Sa
présence. D.ieu nous demande de ne pas créer le vide de Sa
présence sous peine de profanation. La prophétie de Zacharie
(14:9) qui annonce que le Nom de l’Eternel sera Un, nous parle de
l’omniprésence de D.ieu sur terre. Chaque créature connaîtra Son
Nom, rien ne sera laissé sans la connaissance de D.ieu2.
Le blasphémateur de notre passage a maudit le Nom de
D.ieu car son coeur était vide de Sa présence et les versets qui
suivent enchaînent de suite avec les blessures causées à autrui.
Cet enchaînement suggère une conséquence et nous révèle
que le non respect des commandements divins, l’absence à l’appel
aux convocations saintes et aux moments de rencontre, le manque
d’enseignement et de révélation de Son Esprit, créent un vide.
A partir de ce moment-là, la limite où nous risquons de faire
du mal à notre prochain n’est plus bien loin et nous sommes près
2 Rabbi Yitzchaq Ginsbourgh,
de transgresser le commandement royal de s’aimer les uns les
autres.
On commence par ne pas respecter les commandements,
puis on fait du mal à son prochain car nous sommes ignorants ou
égarés et le pas est ensuite vite franchi pour le blasphème et la
profanation du Nom de notre Seigneur.
Nous transgressons cette fois le premier de tous les
commandements : Tu aimeras ton D.ieu de tout ton coeur, toute
ton âme et de toute ta force !
Dans 2 Thessaloniciens 2:8, le diable, l’inique est appelé anomos,
le Sans Thora, celui qui a quitté la Thora, le profanateur de
Thora…
Dans la Haphtara liée à notre Paracha, le prophète Ezéchiel
jette la lumière sur les cohanim du futur Temple :
Mais les sacrificateurs, les Lévites, fils de Tsadok (Juste) qui ont fait
l’acquit de la charge de mon sanctuaire, quand les fils d’Israël se
sont égarés d’auprès de moi, eux s’approcheront de moi pour faire
mon service, et se tiendront devant moi, pour me présenter la
graisse et le sang, dit le Seigneur, l’Eternel. Ezékiel 44:15
Et ils instruiront mon peuple à distinguer entre ce qui est saint et
ce qui est profane, et lui feront connaître la différence entre ce qui
est impur et ce qui est pur. Ezékiel 44:23
Et, dans les contestations, ils se tiendront là pour juger ; ils
jugeront par mes jugements, michpataï et ils garderont mes lois,
Torataï et mes statuts, ‘houqotaï dans toutes mes convocations,
fêtes, moadaï, et ils sanctifieront mes sabbats, shabtotaï. Ezékiel
44:24
Ces futurs cohanim enseigneront à distinguer entre le profane
et le saint, autrement dit, d’après l’enseignement de notre Paracha,
entre l’absence de D.ieu et la plénitude de D.ieu en toutes choses.
Ils seront revêtus de fin lin (44 :17). Remarquons qu’il n’est plus
question de Cohen Gadol dans ce Temple.
Le message est clair :Yéchoua est devenu notre Grand
Sacrificateur et les robes de fin lin que nous porterons sont les
oeuvres justes, de la racine tzadok, que nous aurons accomplies en
sanctifiant Son Nom. Il S’est préparé une Epouse qui aura été
sanctifiée par Son Esprit en accomplissant tous Ses
commandements :
Réjouissons–nous et tressaillons de joie, et donnons–lui gloire ;
car les noces de l’Agneau sont venues ; et sa femme s’est préparée ;
et il lui a été donné d’être vêtue de fin lin, éclatant et pur, car le fin
lin, ce sont les justices (Tzidkot) des saints. Apocalypse 19:7-8
Puissions-nous être appelés fils de Tzadok, le Juste par la mise en
pratique de toute Sa Parole. Amen !

Soucat David Ministry/Editions SoucatDavid Parachat Hachavouah
copyright ©2006/ 5767 Tous droits réservés
www.soucatdavid.net Sefer Vayikra

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