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Sid Ahmed Ghlam avait prévu de tuer des catholiques pendant la messe – Allez, pas d’amalgame, l’immigration est une chance

By 26 avril 2015Lève-toi !

Sid-Ahmed-Ghlam

Bernard Cazeneuve a pris son air sérieux pour annoncer la nouvelle : un attentat a été « déjoué » dimanche dans le 13ème arrondissement de Paris.

Un Algérien de 24 ans, également soupçonné d’avoir tué Aurélie Châtelain, jeune mère de 32 ans, à Villejuif dimanche matin, est en garde à vue. Les médias relaient la bonne nouvelle toute la journée.

Mais l’histoire est moins glorieuse, en réalité, que sur le papier pour le ministre de l’Intérieur.

Dimanche matin, le SAMU reçoit un appel de ce jeune homme blessé par balle à la jambe. Comme il est de coutume lorsqu’il y a blessure par arme à feu, le SAMU prévient la police. Cette dernière débarque et découvre un arsenal de guerre dans la voiture du blessé en suivant ses traces de sang. Intrigués, les policiers se rendent dans la chambre de l’étudiant et y découvrent les plans d’un attentat prévu ce dimanche dans une ou deux églises de Villejuif.

Alors, remettons les choses à leur place : un attentat qui n’a pas lieu parce que le terroriste se tire une balle dans la jambe, ça s’appelle un gros coup de bol et non un « attentat déjoué ».

Difficile d’applaudir les forces de l’ordre ou de se sentir rassurés.

Le terroriste visait, par ailleurs, « une ou deux églises ». Là encore, soyons précis : ce n’est pas une « église » que ce terroriste visait : il prévoyait d’entrer dans ces églises un dimanche matin et de tirer sur les fidèles avec les armes lourdes qu’il possédait. En clair, son but était de tuer des catholiques.

Selon le procureur en charge du dossier, Sid Ahmed Ghlam avait organisé« minutieusement » cet attentat avec une personne « pouvant se trouver en Syrie », qui lui avait demandé « explicitement de cibler une église ». Il serait peut-être temps de prendre au sérieux la haine antichrétienne, au lieu de dépenser des millions contre le « racisme ».

La réalité est têtue ; encore raté pour les adorateurs du vivre ensemble.

Il va être difficile de verser dans l’angélisme avec le cas Sid Ahmed Ghlam.
 « Français comme vous et moi ? » Non, Sid Ahmed Ghlam était arrivé d’Algérie en 2009 dans le cadre du regroupement familial. Depuis, il avait été fiché pour terrorisme, entendu deux fois par les services de renseignement à cause de son désir de partir rejoindre l’État islamique… Mais personne n’avait eu le bon sens d’exiger son expulsion.

« Radicalisé parce que rejeté et sans accès à la culture » ? Pas vraiment. Sid Ahmed Ghlam était étudiant en informatique grâce à une bourse française et vivait dans une chambre du flambant neuf foyer du CROUS du XIIIème arrondissement, pour la modique somme de 200 euros.

Pendant ce temps-là, sa femme habitait à Saint-Dizier, dans la Haute-Marne, avec sa burqa, ses deux enfants et de très probables aides de la CAF.

Ce dimanche, une fillette de cinq ans a perdu sa maman et un drame a été évité par hasard, simplement parce que cet Algérien, identifié comme dangereux, avait reçu des autorités françaises une bourse au lieu d’un avis d’expulsion.

Ils sont 3.000 en France à être fichés comme ce Sid Ahmed Ghlam.

Ils sont des milliers en Syrie ou en Irak, aux côtés de l’État islamique.

Et combien arrivent actuellement des côtes libyennes infectées par les islamistes ?

Allez, pas d’amalgame, l’immigration est une chance.

Il ne manquerait plus que Manuel Valls se serve de ce projet d’attentat pour justifier son plan renseignement alors que le suspect était étranger, fiché et déjà connu pour ses liens avec le terrorisme islamiste.

Source: Boulevard Voltaire

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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