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Suite au message du 12 décembre : “Un puissant témoignage de Victoire biblique : un miracle là où cela semble impossible. Mais qu’est-ce qu’être victorieux et de quel miracle parlons-nous ?”, un frère nous écrit. Je pense qu’il est salutaire de mettre et remettre l’emphase sur ce message au travers des réactions car ce qui est foncièrement révélé, dénoncé là est la tendance édulcorante et inverse de la prédication de la croix survenue au nom de mille choses faciles, l’amour, etc…, ces dernières années et même décennies.

By 18 décembre 2015Le mot du jour

HAIM GOEL: et à présent, en avant frère, pratiquons à présent!  PRATIQUONS. Et que LA parole et moi ne fassent qu’un. EHAD!

Shabbat shalom et rendez-vous au ciel des perfections. Toutes…. et toute lumière!

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Quant au message du 12 Décembre dernier….

il m’a apporté une réponse à une question que j’ai posé au Seigneur en méditant Matt 11: 25-30 (ce n’était pas ma méditation habituelle….  actuellement je suis entrain de terminer le livre de Jérémie).

J’y ai réfléchi la nuit sans trouver une réponse satisfaisante parce que je ne me fie plus à mes “connaissances” antérieures ni aux commentaires bibliques……… mais je demande au Seigneur de me donner un nouvel éclairage sur les versets surtout “prendre le joug du Seigneur Yéshoua”  d’autant plus que le Seigneur Yeshoua avait commencé à remercier son Père : “En ce temps-là, Jésus prit la parole, et dit: Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants. Oui, Père, je te loue de ce que tu l’as voulu ainsi”.

Le lendemain, le 13 Décembre, j’ai commencé à écouter le message du 12 et là il s’est produit une chose extraordinaire lorsque vous avez prononcé le mot “se renier”  “renoncer à soi” .C‘était comme une “explosion” dans tout mon être…… “prendre son joug” a pris tout son sens.

En effet le joug est imposé à un animal pour pouvoir le contrôler et le diriger. L’animal n’a plus la liberté de ses mouvements….. c’est son maître qui  décide pour lui, lui donne l’ordre d’aller de l’avant ou de s’arrêter…, il n’a pas, plus le choix.
Mais il n’en est pas ainsi d’êtres humainsqui possèdent le libre arbitre, qui peut faire un choix  “éclairé” c’est pour cela que le Seigneur nous demande de prendre son joug,

Il ne nous l’impose pas! 

C’est à nous de faire l’acte, Il ne nous force pas.

Prendre son joug c’est renoncer à soi, se renier, se décentrer de son “moi”  et accepter d’être centré sur le Seigneur, se laisser diriger par Lui en toute occasion bonne ou mauvaise.

Avec le joug du Seigneur Yéshoua en place, notre orgueil ne peut plus se manifester…il sera complétement brisé. Ce n’est plus à nous de marcher ou de faire notre propre volonté, de depenser notre argent comme bon nous semble, mais  nous marcherons sur instruction du Seigneur Yéshoua  selon “et recevez mes instructions…”.

Avec le joug du Seigneur Yeshoua en place, si nous le faisons avec foi et obéissance nous serons dans la même relation que le Seigneur Yéshoua avait avec son Père lorsqu’il était sur cette terre. Il  a dit dans Jn 5: 19 Jésus reprit donc la parole, et leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père ; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement. 

Hé 5.7 -8  C’est lui qui, dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété, a appris, bien qu’il fût Fils, l’obéissance par les choses qu’il a souffertes……

 

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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