Cher Haïm,
J’ai été trés choquée d’apprendre les accusations mensongères contre toi. Ce sont des calomnies pleines de venin et de méchanceté gratuite pour détruire ta réputation et ton honneur. Un tel acharnement ne peut trouver racine que dans le mal le plus absolu.
Tout est faux et la description qui est faite de toi est à l’opposé de la personne que tu es en réalité, et que nous connaissons.
Je te connais depuis vingt ans, et j’ai toujours vu en toi un homme honnête, intègre et droit, épris de vérité et de justice. Je peux attester qu’en te voyant vivre au quotidien, tu vis avec ton épouse selon les principes bibliques, de manière authentique en étant disponible pour répondre aux besoins de chacun dans l’église, sans compter ton temps, malgré la fatigue et la maladie. Tu réponds à nos besoins avec amour, sagesse et surtout beaucoup de patience, par le conseil de la parole de Dieu, dans un esprit de vérité et de droiture, avec ton épouse qui est un exemple de douceur et d’amour.
Lorsque quelqu’un dans l’église a des soucis financiers, tu es toujours le premier à nous aider et nous soutenir; pour exemple, il y a environ quatre ans, alors que je n’avais pas de quoi terminer le mois, tu m’as spontanément donné une somme qui m’a permis de vivre jusqu’à la fin du mois.
En toutes circonstances concernant la vie de l’église, tu nous demandes toujours notre point de vue. Comment ce journaliste peut-il sans te connaître , t’accuser de manipulation et de pression psychologique? Quelques soient les décisions à prendre sur le plan personnel et privé ou dans l’église, tu nous demandes toujours de prier et de recevoir une conviction personnelle de la part de Dieu, dans notre coeur.
Concernant les offrandes qui se font d’ailleurs dans toutes les églises, tu nous conseilles également de prier, et si nous avons la conviction de ne rien donner, nous ne donnons rien. Aucune pression, mais une grande liberté.
Je veux te remercier en particulier pour tout ce que tu as fait à l’égard de mon fils cadet il y a quelques années, alors qu’il était en grande difficulté. Tu l’as visité en prison, tu l’as encouragé comme un père , tu l’as aussi hébergé avec beaucoup d’amour. Je te suis infiniment reconnaissante pour l’aide et le soutien que tu lui as apportés.
Cher Haïm tu peux compter ainsi que ta chère épouse, sur mon soutien et mon affection fraternelle, dans cette épreuve.
Soyez abondamment bénis.
Rivka (Jérusalem)
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