La fresque de George Floyd sur un bâtiment de Toledo, dans l’Ohio, s’est effondrée. Des témoins ont déclaré aux autorités que la fresque a été frappée par la foudre et s’est s’effondrée.
Pour soutenir Dreuz.info, cliquez sur ce lien : Dreuz, et indiquez le montant de votre don.
Une peinture murale de George Floyd, l’icône de Black Lives Matter, a été frappée par la foudre et s’est effondrée. Des témoins oculaires ont confirmé que personne ne se trouvait près de la fresque lorsqu’elle a été frappée ni lorsque ses morceaux sont tombés au sol.
La fresque de Toledo, achevée en juin 2020, a été frappée par la foudre mardi en milieu de journée, laissant un mur carbonisé là où se trouvait auparavant le visage de Floyd. Il s’agissait d’un impact direct ; les œuvres d’art situées à gauche et à droite de la fresque n’ont pas été touchées.
WTVG a rapporté que leur radar Doppler a montré un impact de foudre sur le même bloc que la peinture murale de George Floyd à 4:30 cet après-midi là.
La police de Toledo a été vue à l’extérieur du bâtiment, qui abritait le Mugshots Bar, en train d’installer du ruban adhésif autour de l’amas de briques qui formait autrefois l’œuvre d’art.
La peinture murale a été réalisée presque un an avant son effondrement en juillet dernier.
Avant/ après
- Voici à quoi ressemblait le sanctuaire de George Floyd l’été dernier avant que Dieu n’envoie un éclair le réduire en ruines (remarquez qu’il a touché directement le visage de Floyd et rien d’autre) :
- Le même, sans visage :
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Le hasard n’existe pas. Si la foudre a frappé ce mur, c’est que le Seigneur l’a permis, et c’est tout un message pour qui peut (ou veut) l’entendre. Selon Job 33:14 “Dieu parle cependant, tantôt d’une manière, tantôt d’une autre, et l’on n’y prend point garde”. Sa justice se fait d’une façon ou d’une autre, et Ses jugements sont terribles, nous le voyons actuellement dans plusieurs pays dévastés par de violentes inondations. Le réchauffement climatique aura bon dos, mais c’est le Seigneur qui parle, et fortement en ces temps…