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Unités de contre-terrorisme inconnues du public : les Mistaravim, agents israéliens (très très) spéciaux / © Jean Vercors pour Dreuz.info.

By 11 octobre 2015mai 3rd, 2020Etz Be Tzion

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Les membres de l’unité très spéciale Mistaravim sont habillés comme des arabes, ils parlent comme des arabes, et ils connaissent la mentalité et les coutumes des colons arabes de Judée et Samarie qui attaquent les automobilistes avec des pierres ou à la Kalachnikov.

Mistaravim veut dire en hébreu « déguisé comme des arabes ».

C’est le nom donné aux unités de contre-terrorisme des Forces de défense israéliennes et de la police des frontières.

Parmi elles, on connait :

  • Shimshon (Unité 367), qui opérait dans la bande de Gaza. Elle a été démantelée en 1994 après les accords d’Oslo.
  • Duvdevan (Unité 217), qui opère en Judée et Samarie et
  • Yamas, toutes les deux spécifiquement formées à s’assimiler parmi la population arabe locale, intégrée à la police des frontières.
  • Samag, unité rapide de contre-terrorisme tactique.
  • Matilan, unité de renseignement et d’interception.
  • Masada – une unité d’élite qui opère dans les prisons, entre autres.
  • Le département arabe – une unité de Palmach.
  • Sayeret Shaked – une unité d’élite de Tsahal, qui opérait à Gaza dans les années 70.
  • Unité Hermesh – une unité secrète qui opérait en Judée et Samarie jusqu’en 1994. Elle fut ensuite transférée à la brigade Kfir.
  • Yamag, unité de déploiement tactique de contre-terrorisme.
  • Yamam, une unité spéciale de la police des frontières utilisée pour les opérations de sauvetage dans des prises d’otage, des offensives anti-terroristes en zone habité, et des opérations secrètes de police.

Contrairement aux opérations d’infiltration traditionnelles, orientées à la collecte de preuves, les opérations du Yamas sont généralement constituées de raids ciblés pour appréhender ou tuer des terroristes. Un acronyme pour ‘Yehida Mishtartit mistaravim’, le Yamas est l’une des quatre unités de lutte contre le terrorisme dans le MaGav, à côté de la Yamam, l’unité spécialisée dans le contre-terrorisme et la libération d’otages, Matilan qui est spécialisée dans la collecte de renseignements et les infiltrations d’interception et le Yamag, une unité de déploiement rapide pour le crime et le terrorisme. 

Le Yamas a été initialement développé à l’intérieur de l’armée en 1990, lorsque des unités secrètes ont été créés pour faire face aux activités terroristes en provenance de la bande de Gaza, la Judée et la Samarie.

L’unité Duvdevan a été formée en 1987 pour contrer la première intifada (87 – 93) et la vague de terrorisme arabe. Elle s’infiltre et opère principalement en zone urbaine arabe palestinienne. Les Mistaravim ont aussi existé dans les années 40 pour des missions de renseignements et de sabotage contres les terroristes arabes, appelés à l’époque Feddayin.

Ils sont généralement chargés d’effectuer la collecte de renseignements, l’application de la loi, pour des missions de libération d’otages et de contre-terrorisme. Leur force est le déguisement et la surprise.

Pour les opérations d’infiltration dans des environnements très hostiles, le recrutement dans le Yamas est évidemment très sélectif, et la formation d’un an est un défi énorme sur le plan physique et mental. La plupart des membres sont des hommes, généralement célibataires.

Le nom Mistaravim est dérivé de l’arabe Musta’arabi, qui signifie « ceux qui vivent parmi les arabes », en référence aux juifs arabophones qui vivaient au Moyen-Orient avant et depuis le début de la conquête arabe au 7ème siècle, avant l’arrivée des séfarades, juifs expulsés d’Espagne en 1492.

Ces hommes de l’ombre des services de sécurité israéliens ont pour mission d’arrêter les colons terroristes arabes, que les médias pro-palestiniens nomment « palestiniens ».

Leurs visages sont masqués d’un keffieh, personne ne sait qui ils sont. Moustaaribine, le mot détesté s’est propagé parmi les colons arabes qui, depuis plusieurs jours, jettent des pierres sur les soldats et les civils juifs, à qui ils veulent voler les terres comme partout ailleurs dans le monde.

Cette unité sème la panique qui s’amplifie à mesure qu’elle progresse à travers les rangs des lanceurs de pierres.

Ces hommes des services de sécurité israéliens infiltrés sont juifs, arabes israéliens fiers d’être israéliens, druzes ou bédouins. Ils parlent parfaitement l’arabe, et leur ressemblent physiquement.

Ils arrivent avec leur sac à dos, en Nike et Tee-shirts aux couleurs vives, et se fondent parmi les émeutiers. Ils n’utilisent pas leurs armes, sauf pour tirer en l’air, mais les journalistes de l’Afp (Andrea Bernardi), de Metronews (Thomas Guien) ou de RFI (Nicolas Ropert) vous diront le contraire. Normal, quoi qu’ils pensent personnellement, ils sont payés par leurs rédactions anti-sionistes pour mentir, salir Israël, et surtout, surtout, ne jamais montrer les occupants arabes sous leur coté négatif.

Pierrick Leurent de France 24 décrit ainsi les attaques au couteau des terroristes qui secouent Israël : « le mode opératoire est toujours le même, des loups solitaires qui passent à l’action ».

Andrea Bernardi de l’AFP, dont l’indifférence au malheur des victimes juives flirte avec des souvenirs nauséabonds, pour minimiser à l’extrême les crimes barbares des palestiniens contre des mères de familles, contre des enfants, des familles entières, des innocentes victimes qui seront brisées à vie, parle lui de « cas isolés », alors que la vague de terreur palestinienne se monte à plus de 70 attaques (au couteau, aux blocs de pierres, aux armes à feu, aux cocktails molotov) en moins d’une semaine.

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On retrouve ici le même langage que celui utilisé par ces médias manipulateurs lors des attentats de l’HyperCasher de Vincennes et de l’école Ozar Hatorah de Toulouse pour minimiser la réalité islamiste.

Dans une vidéo de France 24, signée Julien Fanciulli et Axel Simon, les propagandistes porteurs de cartes de presse ont montré leur vicieuse indulgence pour les terroristes. Ils atteignent aujourd’hui un nouveau pic d’hypocrisie et de malhonnêteté. Ils déclarent – et ils reprennent ici le mensonge des arabes sans chercher à faire leur travail de vérification – que la visite du Mont du temple par des juifs serait à l’origine des violences actuelles. Ce n’est pas du journalisme, c’est de la propagande antisioniste, et elle ne trompe en réalité personne.

Les Français ont bien compris, ils ont à peu près les mêmes dans leurs banlieues, le bluff ne passe plus.

Les violences existent depuis des années, elles ont commencé en 1929 à Hebron lors du massacre de 70 juifs, et pourtant il n’y avait ni peuple palestinien, ni territoires occupés, ni Etat juif. Mais il y avait ces arabes racistes, terroristes depuis 1400 ans.

Messieurs les journalistes, vous mentez, mais pour qui ? Plus personne ne vous croit ! 75% des Français disent que vous ne rapportez pas la vérité, que vous n’êtes pas crédibles, que vous n’êtes pas indépendants.

Jérusalem n’est le troisième lieu saint de l’islam que depuis 1967. Il ne l’a jamais été dans le passé. Ne soyez pas paresseux, faites une recherche avec Google Ngram, l’expression troisième lieu saint de l’islam est apparue en 1970. Pourquoi ? Mahomet n’a jamais mis les pieds à Jérusalem, les musulmans prient en lui tournant le dos. La ville n’est même pas mentionné une seule fois dans le coran !

Comme le disait Jean Patrick Grumberg, « chaque jour nous confirme que leur pâle caricature de journalisme appartient au camp pervers du mensonge et de la manipulation, de la désinformation et de l’indécence, du cynisme et de la veulerie, et de la veule démagogie ».

Une véritable guerre se profile, elle est espérée par plus de 70 % des colons arabes, qui considèrent que les Israéliens «souillent leur terre et leurs lieux saints» – propos recueillis par l’AFP, emboîtant le pas en cela à Mahmoud Abbas, qui a employé les termes « souiller de leurs pieds sales » pour parler des juifs.

Parmi les meurtres, attentats, agressions au couteau commis en Judée et Samarie et à Jérusalem ces derniers jours, l’un d’eux, plus que les autres, démontre que ces sont des barbares, et qu’ils ont la haine des juifs plus que d’antisionisme :

« Je criais ‘s’il vous plaît, aidez-moi !’ et ils ont juste craché sur moi »

Tandis que son mari gisait sur le sol, mortellement blessé, que son enfant de deux ans était blessé, et qu’elle-même avait été poignardée, Adèle Benet a appelé à l’aide :

« Des jeunes arabes qui regardaient l’attaque riaient et nous insultaient. L’un d’eux m’a giflée. Un autre m’a dit de mourir », raconte Adèle Benet, la mère de famille victime. « Je criais ‘s’il vous plaît, aidez-moi !’ et ils ont juste craché sur moi », a-t-elle encore témoigné, en parlant des commerçants arabes présents sur les lieux de l’agression.

Cela, Andrea Bernardi ne l’a pas rapporté…

Revenons aux Mistaravim

L’intervention de ces agents infiltrés est connue des colons arabes habitués des émeutes en Judée Samarie et à Jérusalem. Ils en tremblent. A Bet El, plusieurs émeutiers surpris ont été arrêtés par cette unité, les journalistes sur les lieux sont restés stoïques.

L’unité Duvdevan, fer de lance des opérations de contre-terrorisme, avait été félicitée en 2002 par le Premier ministre pour avoir fourni l’impact le plus significatif dans la guerre contre le terrorisme. L’unité Duvdevan est considérée comme l’une des plus efficaces de la planète.

En Janvier 2008, elle a éliminé avec succès un important commandant du Jihad islamique en Judée.

Duvdevan veut dire cerise en hébreu.

Cerise comme sur le gâteau, car considérée comme l’une des meilleures unités des forces de défense d’Israël.

Et j’adore les cerises Smile

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean Vercors pour Dreuz.info.

 

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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